C a r a c t è re & phy s i que de C a rr o ll *

C a r ac t è r e :

Caroll est très difficile à cerner, elle n’aime pas se faire prendre et dès qu’elle peut elle ment.

Vous savez les mensonges si bien formulés, si bien modelés, comme si dans son histoire, elle avait effacé à coups de gommes la vérité et l’avait arrangé comme elle le désirait, à coup de crayon si fragile. Les mensonges, il faut les manipuler avec précaution, beaucoup de personnes ne savent pas qu’elle ment, ils croient vraiment à cette partie de son histoire (Caroll commence à croire à ses mensonges, tellement bien intégrés). Par exemple, Caroll évitera de dire que ses parents sont divorcés, qu’ils ont eu des problèmes financiers très lourds. Que dira t-elle ? Elle ne le sait pas, elle inventera sur un coup de tête. C’est pour cela que son imagination est très développée, toutes les situations elle les refait à son point de vue et quand cela ne lui plaît pas, elle ignore. Elle ignore tout simplement, elle ne fait même pas attention et souffle dessus comme si la poussière allait s’envoler toute seule. Les mensonges sont comme une déchirure dans son cœur qu’on aurait recousu si soigneusement qu’on en verrait plus le fil, c’est pour cela qu’elle se ment aussi à elle-même ce qui fait très mal. La plupart de ses sentiments, elle n’ose se les avouer et quand ils éclatent au grand jour, elle a du mal à tout comprendre. D’un coup, tout éclate. A son visage, la réalité, la triste réalité.
La fabrication d’un me n s o n ge.
Son imagination dépasse les limites, elle imagine chaque scène, elle image chaque mot, chaque mouvement, chaque sourire et chaque regard. Son imagination confectionnée avec ses plus grands soins devient souvent son monde à elle, où elle passe beaucoup de temps. Dans son imagination, tout le monde est en noir et blanc où elle est l’actrice, la personne principale, la personne avec le plus de problèmes mais qui porte le plus d’intérêt. Peut être que quelques choses essentielles seront dans des couleurs comme le rose flashi, le vert fluo pour bien souligner son importance. L’imagination est très fantaisiste comme vous le savez, des fois elle imagine bien des choses insensées, la fantaisie est peu importante dans la vie de Caroll mais imaginer des choses complètement loufoques, elle sait le faire. Caroll aime beaucoup imaginer comment sera son futur, c’est d’ailleurs une importance capitale pour elle. Et dans son imagination, elle y trouve toutes les réponses, comme un livre ouvert. Son imagination est donc les trois quarts de son existence sur terre, elle s’y réfugie, elle crie, elle pleure dans ce monde imaginaire. Elle se referme totalement quand son imagination prend le dessus, ce qui crée beaucoup d’incohérences, dès qu’on lui parle des fois elle peut ne pas vous répondre.
Les deux personnalités de Caroll sont vraiment différentes, regardez le noir. Regardez le blanc (le ying et le yang, les deux couleurs sont ensemble sans se mélanger), vous avez donc vu les deux personnalités principales de Caroll. Elle utilise beaucoup sa première personnalité, la plus sombre et la plus sûre d’après Caroll.

- Ses justifications sont simples, étant dans la Maison de Salazar Serpentard, Caroll doit montrer une image sûre, sombre et peu humaine d’elle-même, ce qui est totalement cette partie de Caroll, sa première personnalité. On oserait croire que Caroll éprouve quelque chose quand elle est dans sa phase première (de sa personnalité). Elle aime beaucoup manipuler, elle aime beaucoup rire des autres, elle prend un malin plaisir à faire sa loi. Ce qui est le plus embêtant c’est que maintenant les Serpentard font pour la majorité la même chose que Caroll, et quand une personne essaye de faire sa loi, une autre essaye de prendre le dessus. Serpentard est donc une maison très encombrée par les conflits. Bien sûr, vous vous dites, Caroll est donc la Serpentard typique, la Serpentard méchante sans aucun cœur que tout le monde connaît. Mais je ne vous ai jamais avoué que Caroll est très paranoïaque et à chaque instant de cette phase, elle se renferme et ses faits et gestes sont très peu communicatifs. Elle n’est pas agréable, elle n’est pas vraiment gentille, elle est souriante et essaye de faire comprendre qu’elle est une élève éduquée, bien élevée, ce qu’elle arrive à faire à merveille par les mensonges, par les apparences. Caroll peut être quelques fois gentille, souriante tout en étant horripilante, énervante mais ce ne sont que dans de rares occasions et c’est sa seconde personnalité qui prend le dessus quand un sourire s’affiche.

- Sa seconde personnalité est beaucoup plus douce, beaucoup plus gentille, normale je devrais dire mais personne n’est normal, c’est bien connu. Caroll est une poupée quand sa seconde personnalité pointe le bout de son nez. Elle a tendance à se mettre à rire (son rire est par contre très glacial, des fois doux mais pour la plupart du temps, énervant ), à faire part de ses sentiments, elle prend dans ses bras les gens qu’elle apprécie et disons qu’elle se conduit plus comme une Serpentard qui est heureuse, toujours sûre d’elle, Caroll aime s’amuser quand le bonheur surgit. Elle est comme une personne de son âge, une adolescente cherchant le Bonheur, en quête des interdits et avec ses amis, elle s’éclate. Sa seconde personnalité est aussi fréquente que la première, tout son entourage peut être rassuré dès que Caroll se met à sourire, c’est comme une fleur qui éclot, tout le monde est émerveillé. C’est un bourgeon qui annonce que la tempête est terminée. Vous savez cette poupée qui figée, a l’air maléfique mais une fois les rayons de soleil posé sur son visage, son grand sourire parait doux, calme et gentil.

(En c o u r s*)