Paine Holiday |Terminée|

6ème Année Nombre de messages : 2 Age : 31 Date d'inscription : 26/06/2007

I. Identité Général.

Nom, Prénom_ Holiday, Paine James
Age, Date de Naissance_ 17 ans, 7 Janvier
Sexe_ Masculin

Année à Poudlard_ 6ème année
Origine [Aisé, Pauvre, Moyen] // Ascendance [Pur, Mêlé, Moldu] // Nationalité_ Paine est d’origine pauvre. C’est un moldu,et de sa mère, il tient la nationalité américaine.

II. Caractère.

Caractère:

[..] Aussi sombre qu’un texte de Baudelaire. Paine est un être qui erre dans les confins d’un monde sans lumière. Il traverse l’existence comme s’il était invisible, personne ne le voit, personne ne fait attention à lui. Dans un sens, c’est mieux ainsi. Il n’est pas timide, seulement asocial. Il aime la solitude, et s’y complaît, s’en satisfait. Pourtant, Paine est un éternel insatisfait. Il a toujours envié ou jalousé la vie des autres, qui lui paraissaient tellement plus douces… Cherchant à tout prix à obtenir une place parmi les plus populaires, il s’est toujours heurté au refus, au rejet.

Il s’est donc forgé une carapace de froideur, dans laquelle il a fini par croire. Aussi froid qu’une tempête à minuit, il est distant, cynique, cassant. Pas question de l’approcher, sinon, il sort les crocs ! Il est peu apprécié, et il apprécie peu. Tant qu’on lui fiche la paix, Paine est calme. C’est un garçon désagréable, rares sont ceux qui ont envie de lui parler. Au contraire, la plupart du temps, on le fuit.

La vérité, c’est que Paine n’est pas comme ça. Certes, il y a une part de vérité : il est plutôt froid, et c’est un garçon asocial. Mais il n’est pas le rustre qu’il paraît. Paine est sensible, très sensible, un peu trop d’ailleurs. Sa sensibilité, il l’exprime dans sa musique, qu’il chérit plus que tout au monde. Paine est un être protecteur de nature. Les rares amis qu’il avait, il les a toujours protégé. Il est dur de se lier avec lui, mais une fois que l’on a réussi à faire éclater le miroir, il tient à vous comme à la prunelle de ses yeux. C’est un excellent confident, qui écoute sans poser de questions. Il réserve son jugement pour lui-même. Ce n’est pas le genre de garçons qui veut toujours être au courant de toutes les histoires, de toutes les embrouilles et autres. Bien au contraire.
Paine se contente d’observer avec un désenchantement qui lui est propre la vie des autres, comme si la sienne n’était pas en état de fonctionnement. Réservé, Paine n’exprime que rarement ses sentiments. La vérité, c’est qu’il est maladroit dès qu’il s’agit de ce genre de choses. Mais dès qu’il les exprime, mes amis, que de passion !

C’est dingue comme une allure peut mal faire les choses. Paine est un volcan, éteint en apparence, bouillant à l’intérieur. Il fait rarement usage de ses poings, mais il ne faut surtout pas pousser Paine à la violence, car il ne retient pas ses coups. Plus hardi que faible, mais moins colosse que l’on ne le croit, Paine est un être à deux facettes. Il cache une profonde blessure, de la trempe de celles qui ne cicatrisent jamais…

Aime, Passions, Hobbies_ Il aime avec passion le piano, qu’il a découvert lorsqu’il était tout jeune. Il ne se sent heureux que lorsque ses doigts effleurent avec délicatesse l’ivoire des touches du roi des instruments. Painy aime la musique, bien sûr. C’est un mélomane dans l’âme. Un hobby ? Un hobby, ça se pratique le plus souvent en groupe, et Painy n’a pas vraiment d’amis. Pour occuper son temps, Painy lit, écrit, ou dessine. Il va parfois assister aux matchs de Quidditch, car ce sport lui plaît, bien qu’il ne fasse pas partie de l’équipe de sa maison.

N'aime pas, Phobies_ Une phobie ? Aucune. Mais Painy n’aime pas un grand nombre de chose. Qu’on le colle, qu’on essaye de lui parler alors qu’il est de mauvaise humeur, ça, il déteste. Surprenez-le en pleine méditation, et il se mettra dans une colère noire. Il a toujours l’impression que l’on viole son intimité, qui est, je vous l’accorde, extrêmement réduite. Il déteste être en manque de nicotine. Privez-le de son paquet quotidien et Painy le calme devient Black Painy, autrement dit, un mètre quatre-vingt de terreur pure…

III. Physique.

Physique: Painy ne s’est jamais vraiment posé la question de savoir à quoi il ressemblait. Bien sûr, il se connaît, mais il n’est jamais allé plus loin que le reflet de la glace. Pourtant, il y a fort à dire sur ce jeune homme, qui ne ressemble aucunement à une baguette de pain, merci bien. Painy est du genre baraqué, avec ce qu’il faut là où il faut, sans être un affreux Monsieur Propre. Sous une peau d’une pâleur presque inquiétante, on devine un corps taillé dans du granit, solide, robuste, mais chez ce garçon, il peut devenir bien plus délicat. Painy est mince, large d’épaules. Cette silhouette de footballeur américain est heureusement adoucie par des épaules aux contours ronds.

Le visage de Painy est très intéressant. Un air enfantin se dégagea de cet ovale un peu bosselé par un menton volontaire. Une paire d’yeux…comment dire…impossible d’en dire la couleur. Painy les a parfois bleus, parfois noirs, mais dans les deux cas, pailletés d’or. Ils sont franchement indéfinissables. Souvent, il n’y a pas d’expression. Painy est très souvent impassible. Un nez petit, fin, mais pas très droit (les coups de poing …) surplombe une bouche sensuelle. Rouge cerise, charnue, elle a de quoi faire se pâmer des filles ! Passons aux détails, désormais. Painy possède un petit grain de beauté au-dessus de la lèvre, un petit détail qui peut vous paraître insignifiant, mais c’est franchement…charmant.

Ensuite, Painy a de longs cils qui entourent ses yeux, surmontés de deux sourcils fins et noirs, tout comme ses cheveux. Painy les a courts, et contrairement à la moitié des mecs de cette école, parvient parfaitement à se les coiffer. Bien qu’il ne possède pas vraiment le même sens de coiffer… Pas de gel pour Painy, un petit tour de magie et voilà un effet « tombé du lit » parfaitement réussi.

Painy est grand, environ un mètre quatre-vingt. Sa silhouette est harmonieusement composée. Le jeune homme, comme dit plus haut, est plutôt bien proportionnée question musculature, et il est loin d’être un frêle jeune homme. Pourtant, il en donne l’impression. Son allure elle-même est fragile. Il marche le plus souvent la tête baissée, les yeux rivés vers le sol. De plus, son visage est toujours fermé, il n’attire franchement pas l’envie. Painy garde sur le visage un visage sérieux et impassible, alors qu’un sourire arrangerait franchement l’ensemble. Il paraît

glacé car son teint est pâle, et la noirceur de ses cheveux tranche avec la blancheur de neige du visage de Paine.

Painy possède une voix chaude, douce, parfois un peu rauque, cela dépend de son humeur. C’est un grand atout de séduction, bien que notre petit Painy national ne sait absolument pas s’en servir. Painy prend soin de ses mains, qui est de loin la partie de son corps qu’il préfère. Ses doigts sont fins et longs, très agiles, et d’une douceur rare. Grâce à ces mains et un piano, Painy est capable de charmer toute une salle …

Style vestimentaire_Noir. Quoi, c’est pas un style vestimentaire ? Et bien, chez Paine, ça l’est. Il ne s’habille que dans cette couleur, ou dans des teintes très sombres. Painy cultive un côté hard romantic qui lui sied à merveille. Tee-shirts ou chemises noires, parfois blanches, jeans (la plupart du temps larges, les jeans moulants ne lui vont pas), baskets en toiles ou chaussures à imprimés, le jeune homme glane dans les arrière-boutiques plutôt que chez les grandes enseignes. Painy customise la plupart de ses vêtements, n’ayant pas honte de s’adonner à des activités reléguées aux filles. Painy aime particulièrement les bijoux que l’on vent dans des boutiques spécialisées. Oh, il n’en est pas à porter des bracelets à piques sur tout le long du bras et sur le cou, chez Paine, c’est plus discret. En revanche, Painy est un grand adepte des piercings. Il en possède un sur l’arcade sourcilière, un sur la lèvre ( qu’il met de temps en temps, par peur d’infection ), deux à l’oreille gauche ( des anneaux argentés ) et un sur la langue, un brillant, un petit cadeau qu’il s’est offert le jour de ses douze ans. Rebelle, le Painy-chou.

V. Autres.

2 OptionS choisiES en 3ème année: Divination et Vieille Magie
Avez vous le permis de Transplaner? Non
Affiliation: Bien, Mal, Neutre? Neutre, vers le Mal
Baguette, Description + obtention:

Painy a acheté sa baguette chez Ollivander’s. Celle-ci est fabriquée en bois d’If, symbolisant le cycle de la vie et de la mort. A l’intérieur, il y a un crin de Licorne. Elle mesure vingt-deux centimètres et demi, et est très rigide. C’est une bonne baguette, quelque peu abîmée, car Painy s’en sert beaucoup

6ème Année Nombre de messages : 2 Age : 31 Date d'inscription : 26/06/2007

IV. Biographie.

Enfance, école et apparition du pouvoir:

Sandra Holiday était excessivement jolie, et excessivement bête. Elle était du genre à suivre le premier inconnu qui lui faisait du gringue pour gagner une nuit d’extase. Une vraie poule suiveuse. Elle habitait à Los Angeles, et c’était une fille de mauvaise vie. Descendante d’une famille bourgeoise qui l’avait virée quand ils avaient découvert que Sandra se dopait à la coke et sniffait tous les soirs en compagnie d’un ou deux mecs plutôt éméchés, elle vivait désormais chez ses amis toutes aussi déprimés qu’elle. Ce soir, là, donc, elle suivit un jeune homme dont elle ne se souvint pas le nom quand il prit dans cette ruelle miteuse d’un quartier malfamé de La Cité des Anges.

Sandra prit du bon temps, et repartit. Elle n’y pensa plus, jusqu’à ce que les premières nausées apparaissent. Puis il y eut les vertiges, les maux de ventre, et pour finir, la visite au dispensaire du quartier. Là, une charmante infirmière qu’elle attendait un heureux évènement. Catastrophée, Sandra pensa tout d’abord à avorter, mais elle se dit qu’elle pourrait gagner du fric avec le gosse. C’est ainsi qu’elle se rendit chez ses parents, dans l’espoir de les attendrir. Ce fut en vain, car les parents refusèrent catégoriquement d’entendre parler de cet enfant. Et Sandra fut mise à la rue. Tout d’abord, elle campa chez une de ses amies, mais bientôt, elle ne put squatter plus longtemps. Avec environ cents dollars en poche, la jeune fille paya une chambre d’hôtel et attendit que son gosse vienne au monde. Malgré sa bêtise, Sandra n’était pas sans cœur et elle décida de garder le bébé avec elle. N’empêche, elle ne le portait pas dans son cœur. C’est pour pourquoi elle lui donna un prénom qui rappellerait à l’enfant ce qu’il représentait pour sa génitrice.

Un 7 Janvier, Paine James Holiday naquit. Le directeur de l’hôtel avait conduit Sandra en urgence à l’hôpital le plus proche, et lui avait intimé de ne plus revenir au motel, où elle causait trop de soucis, financiers et sociaux. Sandra ne resta pas longtemps à l’hôpital, par crainte qu’on lui enlève son enfant, elle disparut bien vite de la circulation. La jeune femme s’installa en sous-location dans un appartement minable, et commença à élever son fils, pas de la meilleure façon…

« Painy ! Je rentrerais très tard ce soir donc tu t’inquiètes pas, bébé, okay ? »
« Oui, maman.. » répondit le gosse de quatre ans. Il faisait grise mine, voilà deux jours que sa mère s’en allait Dieu sait où chaque soir, et à chaque fois, elle lui criait dessus quand elle rentrait.
« T’as un gosse ? » murmura une voix grave derrière la porte, assez grave pour que Painy en tremble.
« Ouais, répondit Sandra, une clope au bec, coincée dans l’encadrure de la porte, Nan, Jimmy, pas ici ! Non, arrête ! Hihihi… »

Ce genre de scènes, Paine y était habitué. Il les subissait depuis qu’il était tout jeune. Le garçon s’installa sur le canapé qui lui servait aussi de lit et s’endormit. L’assistante sociale la plus rôdée en serait tombée dans les pommes. Painy était maigre, très maigre. Il n’allait pas à l’école, ou alors très rarement. Sa mère ne le maltraitait pas, mais c’était tout comme.
Un soir de mars, la police débarqua chez Sandra. La jeune femme, complètement défoncée, n’opposa aucune résistance. Elle était arrêtée pour trafic et détention de stupéfiants. On lui enleva Painy sans aucune autre forme de procès, et le gamin fut placé en foyer. Le petit garçon devint violent, renfermé, solitaire. Il ne supportait pas cette avalanche de bons sentiments dégoulinants.

« Allez, Painy chéri, tu vas la manger, hein, cette bonne purée ? Fais plaisir à Tatie Jacqueline. »
« Nan. Pas envie. »
« Tu n’as pas envie de manger ta purée ? »
« Pas envie de te faire plaisir. »
« C’est très vilain de parler ainsi, Paine ! »
« M’EN FICHE ! »

Rouge de colère, Paine quitta le réfectoire de l’orphelinat en hurlant. Il sortit dans le parc, ou plutôt l’immonde bout d’herbe jaunie, et s’accroupit. Il se mit à pleurer, épuisé. Il n’en pouvait plus. Il voulait sa maman…
D’ailleurs, que devenait Sandra ? Elle était devenue clean. La jeune femme s’était rangée, s’était mariée avec un homme riche et amoureux. Elle avait rayé Paine de sa vie. Pas question que ce gosse pouilleux vienne pourrir son conte de fées…
Est-ce que Paine était condamné à vivre toute sa vie à l’Institut Saint-pierre ? Est-ce qu’il était condamné à grandir dans cette atmosphère qui n’était pas la sienne ? A l’âge de 6 ans, le garçonnet sembla s’y résigner, quand une heureuse surprise vint chambouler sa vie. On voulait l’adopter. Mike et Helen Black, un couple de dentistes stérile était désireux d’avoir un enfant et ils avaient jeté leur dévolu sur Painy. L’avenir sembla s’éclairer…

« C’est ta nouvelle maison, Painy. Elle te plaît ? »
« … »
« Tu n’es pas très bavard, mon petit bonhomme. T’inquiète, Papa va arranger ça ! »

Une famille heureuse. Painy se sentit revivre. A son sixième anniversaire, il reçut un piano de la part de sa grand-mère adoptive, et dès lors, ne le quitta plus. Il piqua de grosses colères à cause de ça , d’ailleurs. Mais qu’importe. Paine se découvrit un don pour le piano, et il l’exploita au mieux. Très tôt, il décida de lui-même de s’inscrire à des concours, et il arrivait souvent sur l’une des premières marches du podium.
Néanmoins, un autre problème se profilait à l’horizon : celui de l’école. En effet, Paine s’intégrait assez mal aux autres enfants, et était l’objet constant de moqueries. Ses résultats étaient déplorables, malgré les longues soirées à réviser. Il n’y avait qu’en anglais qu’il était bon, et encore… Bref, ça n’était pas une vie parfaite non plus.

De plus, des phénomènes bizarres se produisaient autour de Painy. Quand il devenait en colère, les portes de la maison claquaient et l’argenterie tremblait dans les tiroirs. Ses parents adoptifs, bien qu’inquiets, n’en parlèrent pas à leur entourage. On trouvait déjà Painy bizarre, pas besoin d’en rajouter.
Paine, malgré tout l’amour dont il était entouré, devint sombre et renfermé. Mike et Helen adoptèrent Alycia,une petite Africaine de 7 ans, et Painy accueillit très mal cette nouvelle venue. Il avait été habitué à vivre seul, voilà qu’une chose gigotante pénétrait dans SON intimité. Jusqu’à l’âge de 10 ans, la vie de Painy se déroulait dans un morne quotidien. Jusqu’à ce jour de Juillet…

« Euh…Maman ? Tu peux venir voir, s’il te plaît ? »
« Bien sûr, Painy ! Que se passe-t-il ? »
« Regarde…J’ai reçu une lettre. »
« De qui ? »
« D’une école de magie. »
« Quoi ? »

Tout d’abord, Painy lui-même n’y crut pas. Mais il dut se rendre à l’évidence quand Alycia se mit à léviter au-dessus de son berceau quand il se mit en colère contre elle. A l’âge de 11 ans, il quitta les Etats-Unis pour l’Angleterre, pour Hogwarts…

Entré à Poudlard, niveau scolaire et autres: Le Chemin de Traverse ravit Painy. Le marchand de baguettes lui fit une peur bleue, mais le reste le transporta de joie. Le jour de la rentrée, il prit le train et dit Adieu à ses parents, et à sa sœur. Il allait connaître une nouvelle vie.
Quand la Cérémonie de Répartition eut lieu, Painy stressa. Venir devant tous ces gens qu’il ne connaissait pas. Mais il fut soulagé quand le Choixpeau cria le nom de sa maison, car la table de celle-ci l’applaudit. L’année commençait en fanfare.

La première année fut celles de toutes les découvertes pour Painy. Sa matière préférée était de loin la Défense contre les Forces du Mal. Il faisait l’admiration de ses professeurs pour sa capacité à maîtriser très rapidement les enchantements. Le cours de Potions lui plaisait également, mais en revanche, il ne maîtrisait franchement pas les relations sociales. Il aurait obtenu un D, comme Désastreux. Painy devint très solitaire.

La seconde année fut toute aussi pareille à la première. Painy avait grandi, dans sa tête et dans son corps, un peu trop, peut-être. Les gars qui le titillaient d’un peu trop près, il leur mettait son poing dans la figure. Il finit souvent dans le bureau du directeur, qui le réprimandait sur le mauvais usage qu’il faisait de ses poings. Les résultats de Painy s’en ressentirent, et ceux-ci baissèrent légèrement, tout en restant acceptables.

La troisième année fut assez difficile pour Painy. Il était ado, désormais, et ses relations avec les adultes se détériorèrent. De plus, son foutu caractère n’arrangeait pas les choses. Ils se disputa souvent avec ses parents durant les vacances d’été, et personne ne remarqua qu’Alycia montrait les même prédispositions que son frère… Ce que personne ne savait, c’était qu’Alycia était une sang-pur, ses parents étaient sorciers tous deux, mais étaient morts…Dans quelles circonstances, on ne le savait pas. Painy améliora cependant ses résultats, et fit (enfin) connaissance avec des gens de sa maison ou autre.

La quatrième année, Painy fit une rencontre. Celle-ci se nommait Claire Storm. Il avait oublié son livre un jour, et le cours se partageait avec les Poufsouffle. Claire vint s’asseoir à côté de lui, et Painy suivit le cours. Il ne se doutait pas que la jeune fille perdrait la tête à cause de lui. Cependant, Painy revit parfois Claire au détour d’un couloir et il s’arrêtait toujours quelques minutes pour parler avec elle. Il l’aimait bien, cette fille.

Les deux années suivantes, rien ne vint bouleverser le quotidien de Painy, si ce n’est l’entrée d’Alycia à Poudlard. Cela fit un sacré un choc à Paine. La gamine fut envoyée à Gryffondor, et devint rapidement la tête brûlée de la maison. Tout l’opposé de son demi-frère. Il devait parfois aller la réprimander en public pour qu’elle ne fasse pas de conneries (ensorceler les portes de Poudlard, par exemple, ou faire un défi stupide concernant la Forêt Interdite, par exemple.) La gamine est désormais en quatrième année.

Painy est désormais entré en septième année à Poudlard. L’histoire du coffre magique a aiguisé sa curiosité, et il a très envie de s’approprier l’objet du coffre…

Famille: Paine ignore qui est son père et a peu de souvenirs de sa vraie mère, Sandra Holiday. Celle-ci est désormais rangée, mariée à un cadre en informatique. Ils n’ont pas d’enfants. Les parents adoptifs de Paine se nomment Mike et Helen Black. Helen étant stérile, ils ne peuvent pas avoir d’enfants, et ont adopté Painy et Alycia, tous deux scolarisés à Poudlard.
Alycia, âgée de quatorze ans, est à Gryffondor. C’est une tête brûlée, toujours partante pour tout essayer. Elle a parfois des gestes inconsidérés qu’elle regrette ensuite. Contrairement à Paine, elle n’a jamais connu ses parents ( elle sait seulement qu’elle est africaine ), et a pris le nom de ses parents adoptifs. Elle est très jolie, et Painy voit d’un mauvais œil tous les garçons qui lui tournent autour.

7ème Année Nombre de messages : 36 Age : 33 Date d'inscription : 27/06/2007

Bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuue !!! cheers

Fiche validée bien sûr ! Un vrai plaisir cette lecture ^^ Ca fait du bien de revoir ce perso Razz

Sur ce, malgré que la maison soit déja blindée, je t'envoie à Serpentard ! Smile

Bon jeu !

Painy's Fan Club. cheers

xD