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 A Bad Day Like Another (PV : Nathaniel A. Cullen)

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Gaël de Seryes
6ème Année
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Gaël de Seryes


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MessageSujet: A Bad Day Like Another (PV : Nathaniel A. Cullen)   A Bad Day Like Another (PV : Nathaniel A. Cullen) Icon_minitimeSam 7 Juil - 17:37

[ Privé : Nathaniel A. Cullen.]

L’astre de la nuit remplaçait lentement celui du jour, alors qu’il n’était que dix-huit heures à peine. La pluie tombait drue, forçant la plupart des élèves de Poudlard à rester à l’intérieur. Ce n’était pas le cas de Gaël de Seryes. Il était toujours mieux dehors, même lorsque le temps ne s’y prêtait pas. Et puis il aimait la pluie. L’odeur de la pluie, le bruit qu’elle faisait lorsqu’elle s’écrasait sur le sol, la sensation qu’un manteau glacé le recouvrait. Gaël adorait ça. Et il n’était pas d’humeur à rester enfermé dans la salle commune des Serdaigles, à attendre le dîner. De toute façon, il n’avait pas faim. Le jeune homme noua son écharpe bleue et grise autour de son cou, et quitta le hall d’entrée. Une fois dehors, la pluie sembla s’arrêter, ou tout du moins se calmer. Le Français soupira et s’avança dans l’herbe mouillée, ses pieds s’enfonçant légèrement dans le sol boueux. Son pantalon un peu trop grand pour lui allait encore être trempé. Bah, il s’en moquait.

Gaël redressa la tête et regarda le ciel. La lune serait bientôt pleine. Dans deux jours. Cela expliquait sa mauvaise humeur et sa nervosité, c’était en partie à cause de cela qu’il avait passé une mauvaise journée. Il avait oublié son devoir de Potions dans son dortoir et n’avait donc pas pu le rendre. Mit de mauvais poil par cet oubli, il avait complètement raté sa potion. Une véritable honte. Il n’avait fait que des gaffes, aujourd’hui. Heureusement que les professeurs savaient pourquoi il agissait ainsi, et ne prenaient pas vraiment en compte sa maladresse. Mais Gaël détestait cette situation, il avait l’impression d’être favorisé, lorsque ses professeurs laissaient passer ses erreurs sans trop broncher, tout simplement parce que la pleine lune approchait. Il ne voulait pas de la pitié des autres.

Le Lycan s’approcha d’un arbre, son arbre. En effet, à chaque fois qu’il voulait être seul, qu’il ne se sentait pas bien, c’était là qu’il allait. Avec agilité, il grimpa aux branches, faisant attention à ne pas glisser, car la mousse mouillée par la pluie était vraiment casse-gueule. Il se percha sur une branche et soupira longuement. Il passa une main dans ses cheveux noirs et grimaça. Une fois de plus, ils étaient ternes et secs. Gaël regarda l’astre lunaire d’un œil mauvais. Maudit caillou, qui perturbait sa vie et faisait d’elle un enfer une fois par mois. Le jeune homme glissa sa main sous sa robe de sorcier et sous sa chemise, au niveau de l’épaule, et retraça distraitement une cicatrice en forme de croissant de lune. Ou plutôt, de la forme d’une morsure de loup. De Loup-Garou. Il avait parfois l’impression qu’elle le brûlait, de façon à ce qu’il n’oublie jamais sa condition. Bientôt, ce serait la pleine lune, et la bête en lui demanderait à sortir. C’était comme ça, tous les mois, il n’y pouvait rien.

Le Lycan se laissa aller contre le tronc de l’arbre. Il était un peu mouillé, mais ce n’était pas bien important. Gaël ne se sentait pas bien. Il s’était encore disputé avec Gabin ; pire, ils s’étaient battus. Mais Gabin l’avait mérité, il n’avait pas à le chercher, pas sur ce sujet.

***

« Gaël, tu peux m’aider ? J’ai un devoir de DCFM à rendre.
- C’est sûr quoi ?
- Ben… tu sais, sur les Loups-Garous, alors je pensais que tu pourrais m’aider, tu vois, comme tu…
Gaël avait plaqué une main sur la bouche de son petit frère.
- Tu ne veux pas le crier sur tous les toits, tant qu’on y est ?! Bon sang, sois discret avec ça ! Et tu peux pas te débrouiller, non ? Fais des recherches à la bibliothèque, t’es pas illettré, aux dernières nouvelles !
- Oh ça va hein, y a personne ! Et t’es pas obligé d’être aussi désagréable !
- Ne m’énerve pas, Gabin, pas aujourd’hui, s’il te plaît.
- Mais bordel ça fait six ans que tu l’as butée, Maëva, ça fait six ans que tu deviens complètement taré le jour là, t’as pas bientôt fini ?! Elle est…
Le coup de poing de Gaël avait jeté Gabin à terre. Le jeune homme, hors de lui, s’était alors mis à frapper son petit frère, l’air presque dément.
- TU NE L’AS PAS VUE ! T’étais pas là, bordel, c’est pas toi qui l’as… qui l’as…
- Tuée. Tu l’as tuée, Gaël, alors putain, arrêtes de me frapper, et rends-toi à l’évidence ! Te mettre dans des états pareils chaque an ne changera pas les choses.
- Ferme là… tu n’y étais pas… Tu ne l’as pas tuée… »


***

Gaël enfouit son visage dans ses mains. Il détestait se disputer avec son frère, surtout à ce sujet. Pourquoi ne pouvait-il pas être comme Tristan, et comprendre ce qu’il ressentait ? Cela faisait six ans que sa sœur jumelle était morte, aujourd’hui, cela faisait six ans qu’il l’avait tuée, alors il avait bien le droit de se sentir mal, non ?
Le jeune homme soupira à nouveau et sauta de sa branche. Il atterrit sur le sol, un genou à terre. Il aurait du prendre son violon, au moins, cela l’aurait occupé et il aurait pensé à autre chose. Si la pleine lune était tombée un jour moins proche que celui de la mort de Maëva, il aurait sans doute été beaucoup moins sensible. Il songea amèrement qu’il ressemblait aux filles dans leur mauvaise période lorsque la pleine lune approchait. De mauvaise humeur, plus sensible, très irritable. C’était d’un viril…

Le jeune homme shoota dans un caillou et enfonça ses mains dans les poches de son jean. Sans trop réfléchir, il prit la direction de la forêt interdite. Il n’avait jamais été impressionné par cet endroit. Ses sens étant plus développés que la normale grâce à sa lycanthropie, il était capable d’entendre une bête qui tenterait de l’approcher discrètement. C’était d’ailleurs le seul point positif de sa « différence ». Et au pire, il avait toujours sa baguette magique. D’un pas lent, Gaël flânait à la lisière de la forêt, puis, il finit par pénétrer dans ce lieu normalement interdit, mais où pratiquement tous les élèves avaient mis les pieds au moins une fois.
Comme toujours, il y faisait sombre. L'ambiance était oppressante, lourde, mais ça ne dérangeait pas Gaël, il y était habitué. La forêt qu'il y avait près de chez lui lorsqu'il habitait en France était pareille. Chargée de lourds secrets, hantée par des créatures plus ou moins mauvaises.
Un frisson parcouru l'échine du jeune Français. Il n'était pas seul, il l'avait sentit et entendu, on ne pouvait échapper à ses sens surdéveloppés. Il avait un mauvais pressentiment. Le Loup en lui gronda, comme un signal d'alarme qui répétait en boucle:

« Danger Ennemi, danger Ennemi. »
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Nathaniel A. Cullen
6ème Année & Préfet
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Nathaniel A. Cullen


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MessageSujet: Re: A Bad Day Like Another (PV : Nathaniel A. Cullen)   A Bad Day Like Another (PV : Nathaniel A. Cullen) Icon_minitimeMar 7 Aoû - 17:16

HJ - Désolée pour le retard... ^^' J'aime beaucoup ton style ! n__n



Extrait du journal de Nathaniel Cullen.
24 Avril 2007

[...] Le 4 avril de cette année, j'ai passé mon permis. Bon, ça ne veut pas dire que je ne conduisais pas avant, parce-que je ne me gênait pas, mais disons que j'étais officiellement conducteur. J'allais pouvoir aller au lycée dans ma propre voiture, et non pas dans celle de Rosalie (qui est très belle cependant !). J'étais donc tout fier, et je me suis mit en tête de faire une longue promenade en voiture, dans mon Aston Martin toute neuve. Je filais comme une fusée sur la Hwy 101. Je me sentais vraiment bien. Il était 15h12 précisément lorsque cet homme s'est jetté devant ma voiture avec la ferme intention de m'arrêter. Je freinai brusquement et l'étreinte de ma ceinture de sécurité me broya le torse. Ma voiture fit deux bonds, comme si j'avait roulé sur quelque chose de très dur. L'homme ? Non, j'aurais ot dit une pierre. Mais pas l'mbre d'une pierre sur la route. Je grimaçai et me reçu mon airbag en pleine poire. Je crois que c'est ça qui m'a le plus énervé. Me recevoir cette poche d'air dans la tronche. C'est con, n'est-ce pas ? Donc je suis descendu de ma voiture, en fit le tour et me pencha sur l'homme allongé derrière. Il semblait inconcent mais pas blessé, malgré le fait que je lui soit passé sur le corps. Je lui secouai doucement l'épaule.


Narcisse Noir - « Monsieur ? Monsieur ? Rien de cassé ? »

Je me sentais particulièrement con de lui dire ça mais bon. Silence. Je me redessai en soupirant, essayant de garder mon calme. Soudain, il se releva dun bond et me saisit à gorge. J'émis un hoquet de surprise. Ses iris était d'un rouge bordeaux des plus meurtriers. Je n'aimais pas ce regard sadique et hystérique. Mon coeur battait à toute vitesse et s'accéléra encore plus lorsqu'il m'adressa un sourire. Un sourire mauvais. Mais le plus choquant, c'était ses canines pointues qui le faisait ressembler à un vampire. Mais les vampires ça n'existe pas ! Fantômes, Loups-garous et harpis, ok. Mais pas vampires ! Ben lui, il ne tint pas compte de ce qui est du domaine du tengible et me mordit à l'épaule gauche. Une douleur fulgurante parcourut chaque centimètre carré de ma peau, prenant possession de mon esprit, s'insinuant dans mes veines. J'avais l'impression que mon épaule était en feu, ou alors qu'elle était rongée par du vitriol. Je voulus hurler mais aucun son de sortit de ma bouche. Tout se brouilla et je sombrai. [...]


Nathaniel Artemis William Edward Cullen-Hale, dit Nat - c'est plus court... -, ruminait de sombres pensées, attablé aux côtés de ses commensaux Verts et Argents. Son regard était d'encre, figé par la glace de son coeur tourmenté. Coeur qui, par ailleurs, ne battait plus depuis environ 6 mois. Son visage angélique, d'une pâleur crayeuse, arborait une expression des plus sinistres. Son aura de mort glacé irradiait la haine tout autour de lui, si bien que même Rosalie avait prit, prudemment, ses distances, sans paraitre pour autant appeurée, pour ne pas vexer son tulmutueux petit frère. Les autres, quant à eux, évitaient soigneusement son regard furibond. Devant lui trônait une assiette de nourriture - rôti, pommes de terre et haricots verts - à laquelle on n'avait pas touché. Machinalement, le Vampire réduisait un toast en miettes avec ses longs doigts fins, comme les pattes d'une gracieuse araignée blanche. Il était 18h04 exactement. Nathaniel est trèèès ponctuel. Il ne tolère aucun retard en passant. Vous êtes prévenus, mauvaises graines !

Agacé par le brouhaha de ces crétins d'élèves anglais et humains, - Oui ! Ils cumulent ! Non seulement ils ont la chance d'être humains (et ils s'en plaignent en plus !), mais de surcroît, ils sont Anglais, pays qui l'a attiré loin de Bella ! - le bel Apollon se leva brusquement, avec une vivacité... inhumaine. Une première année poussa même un petit cri de surprise, aussitôt tu par le regard froid du jeune homme. Il parcourut la distance qui le séparait de la porte en un temps record, suffisemment lent pour ne pas éveiller les soupsons, et sortit. Grâce à son ouïe fine, - et encore, pas besoin de s'appeler Superman pour s'en appercevoir - il remarqua que les discussions avaient enflées. A son sujet bien sûr. Ragots, ragots, ragots... C'est vrai qu'il alimentait les rumeurs. Il ne mangeait rien, jamais, ne se mêlait pas aux autres, jamais, d'après certains dires il ne dormait pas, jamais, et il n'était que peu amical... devinez la suite. Jamais, gagné ! Héhé ! Mais que tu es fort, toi qui lis ce texte... Bon, trève de bavardages.

Maintenant qu'il était sortit de cette maudite Grande Salle, que faire ? Hum... Il avait faim. Oui, mangeons. Enfin, buvons. Le Préfet de Serpentard descendit aux cachots pour retirer l'uniforme aux couleurs de sa maison. A la place, il opta pour un slim noir, un pull à col en V, en cachemir noir également, par-dessus une chemise blanche, un trench noir et des converses... noires. Il prit au passage son épaisse écharpe de coton... noir. Le Vampire sortit donc dans le parc, prenant la direction de la Forêt interdite. C'est avec plaisir qu'il sentit le vent frais transportant de petites goutelettes sur son visage blanc. Il ferma les yeux, billes noires perdues au milieu de ses cernes d'un mauve soutenu - pas si moche en fait. Nat poussa un soupir d'aise puis dégringola la colline jusqu'à la forêt. Il courrut de tout son soûl. Ici, pas besoin de faire semblant d'aller à une allure normale, humaine. Cette fois, il pouvait se laisser aller, libre. Il zigzaguait à toute vitesse, si rapidement qu'il en devint invisible, entre les troncs majestueux et séculaires. Le vent sifflait à ses oreilles. Quel bonheur ! Adieu regards curieux et inquisiteurs ! Adieu commères ! Adieu humains imbéciles ! A l'exeption de Bella, Carlisle, Esmée, Rosalie, Alice et Jasper, Nathaniel trouvait que la race humaine était constituée à 98% de crétins. De toute façon, même lorsqu'il faisait encore partie de ce groupuscule constitué de 6 milliards d'individus, le jeune homme pensait que ses « égaux » étaient des minables.

Le Préfets des Vert et Argent s'arrêta dans une clairière, baignée par la lumière de la lune presque pleine. Elle était trop petite, et les arbres trop hauts, pour que le vent et la pluie s'y engouffrent. Nat s'assit dans l'herbe, toutefois un peu humide. Il ferma les yeux, se laissant posséder par l'atmosphère de bien être et de sérénité de la clairière. Enfin le calme. Mais quelque chose de très déplaisant vint interrompre sa méditation. Une odeur très déplaisante pour son odorat de Vampire. Une odeur de chaleur moite et salée qui piquait le nez. Nathaniel se releva d'un bond en faisant la grimace. Il ne la reconnaissait que trop bien. Un Loup-Garou. Pour les Lycans, les Vampires dégageaient également un parfum horrible. Glacé et trop sucré. C'est vous dire combien ils s'aiment. Le bel androgyne, poussé par la curiosité et la témérité, se dirigea vers l'individu en question. Ses sens aiguisés l'y ménèrent sans peine. C'est alors qu'il vit, entre les arbres, à quelque mètres...


Narcisse Noir - « Un simple élève ! »

A la fois soulagé et sardonique, le Vampire éclata d'un rire moqueur qui tinta comme de l'argent. Il avait vraiment l'air de bien s'amuser. Adossé contre un imposant frêne, il retrouva - un peu - son sérieux. Un simple sourire ironique étirait ses lèvres parfaites sur une rangée de dents étincellantes... et pointues.

Narcisse Noir - « Alors, gros toutou, on a perdu ses poils et ses griffes ? Que se passe-t'il Médor ? La lune fait des caprices ? C'est vrai que vous, les Loups-Garou, êtes inférieurs aux Vampires... Vous n'êtes efficaces qu'une seule fois par mois ! Et encore, si on peut appeler ça de l'efficacité... Pas capables de se contrôler ! Et en plus, avant, vous êtes sensibles comme des héroïnes des « Feux de l'amour » ! Mi-nable ! Et tu devrais songer à te laver, Rex. »

Pour appuyer ses propos, il fit un gracieux mouvement de la main, sous son nez - par ailleurs droit et fin -, comme pour chasser une mauvaise odeur. C'est amusant de voir combien de surnoms affectifs ils se donnent... Gros toutou, Médor, Rex, Pochi, Boule de poils ; Sangsue, Suceur-de-sang, Sang-froid, Chauve-souris... Charmant. Nathaniel savait qu'il était en position de supériorité ; c'est pour cette raison qu'il avança d'un pas, se pencha un peu en avant, comme pour le jauger, puis se redressa, les mains dans le dos, le snobant de tout son mètre quatre-vingt treize, l'air méprisant.

Narcisse Noir - « Tiens. Tu ne serais pas Gaël de Seryes ? Celui qui s'est vu le poste de Préfet de Serdaigle lui filer sous le nez ? Celui qui est jaloux - à juste titre parce-que nous te sommes supérieurs - de Jasper Cullen ? » Il s'accorda une pause pour mieux le snober. « Je m'appelle Nathaniel Cullen, Préfet de Serpentard, au cas où tu ne le saurais pas déjà, ou que ton cerveau ressemble à passoire, ou que ta capacité de mémorisation soit égale à celle d'une petite cuillère. »

Nouveau sourire rayonnant de blancheur et d'ironie. Il paraissait irréelle au milieu de cette forêt triste et sombre. Effigie marmoréenne de quelque divinité perdue. Sa peau couleur d'ossements scintillait sous les rais de lumière lunaire qui perçait les branchages, tranchant avec le noir de ses vêtements élégants. Ses iris, brillants, noirs, semblaient doués de vie, leur couleur tournoyant lentement, comme des eaux infernales, comme le Styx. Ses canines étaient nettement visibles, menaçante.

HJ - Voilà, j'espère que ça te plaît ! =) Nat est une pourriture, n'est-ce pas ? XD
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MessageSujet: Re: A Bad Day Like Another (PV : Nathaniel A. Cullen)   A Bad Day Like Another (PV : Nathaniel A. Cullen) Icon_minitimeJeu 9 Aoû - 23:42

[Mais non, mais non, Nat’ est tout simplement a-do-ra-ble. Ils font les mêmes dans le commerce ?]

Innocence tainted by pure lunacy.

L’air commençait vraiment à se faire frais. Gaël réprima un frisson, enroulant correctement son écharpe autour de son cou, y cachant son nez. Il n’était pas particulièrement frileux, mais la pluie ne l’aidait pas à avoir chaud. Pourtant, c’était lui qui avait décidé de sortir. Certes. Mais il était toujours mieux ici sous la pluie que dans le Grande Salle, entouré d’étudiants bavards et insouciants. Et il n’avait vraiment pas envie de croiser son frère, pas après ce qui s’était passé. Il lui avait très certainement cassé le nez. M’enfin avec la Magie, cela se réparerait en quelques secondes. Et puis Gabe l’avait bien mérité. Il n’arrêtait pas de le provoquer, d’agir bêtement et méchamment avec lui.

Gaël secoua la tête. Il ne faisait pas partie de ces personnes qui se plaignaient sans arrêt, il les méprisait. Pour lui, une personne qui se plaint était une personne faible. Et s’il y a bien une chose que le Serdaigle détestait, c’était bien être faible. Et pourtant, Merlin savait qu’il était loin d’être fort. Petit, il était un garçon qui ne pleurait même pas lorsqu’il tombait et se faisait mal. Il se relevait, les genoux en sang, l’air penaud, et recommençait. Ils avaient toujours été tous les deux. Quoi qu’il arrive, Gaël n’était jamais seul, il avait quelqu’un avec qui partager ses doutes, ses peurs. Cette force, il la partageait avec Maëva, et depuis sa disparition, il avait l’impression qu’une partie de lui s’était envolée. Qu’il n’était plus que la moitié d’une âme, et que la bête essayait de le compléter. Et il refusait que cette ignoble créature prenne la place de sa sœur, il refusait de devenir un meurtrier. C’est pourtant ce que tu es, un meurtrier doublé d’une bête, souffla une voix malsaine dans son esprit.
Oui, peut-être.


Le Serdaigle était perdu dans ses pensées. Jusqu’à ce qu’il remarque qu’il n’était plus seul. Il se maudit de ne pas avoir fait un peu plus attention. Et si c’était une créature de la forêt ? Gaël baissa son écharpe, et aussitôt, il fronça les sourcils, une odeur des plus désagréable assaillant ses narines. Il ne parvenait pas à reconnaître cette odeur. Inconnue, nouvelle, et pourtant, terrifiante, détestable. La bête grogna, trépignant. Elle voulait sortir, elle voulait mordre, déchirer, tuer. Gaël se prit la tête entre les mains, bien décidé à calmer les battements de son cœur et les envies primitives de la bête. Il ferma les yeux, se concentrant sur son odorat, cherchant à identifier qui approchait. Ou quoi. Il avait déjà senti cette odeur, à présent, il s’en rappelait. Dans les couloirs de l’école, dans le parc, dans la forêt. Et à chaque fois, le Loup en lui devenait fou. A chaque fois, il avait l’impression qu’il allait se transformer à cause de cette odeur, malgré le fait qu’il fasse jour.

« I'm out of control, evil takes my soul. » songea le jeune Serdaigle, se rappelant les paroles d’une chanson parmi tant d’autres.

Gaël se redressa, remettant ses cheveux noirs en place. Il fallait bien l’avouer, sa taille était impressionnante. Il faisait partie des élèves les plus grands de Poudlard. Et quand on savait qu’il prenait encore quelques centimètres lorsqu’il se transformait… Mmmmh, ce n’était pas vraiment rassurant. Mais pour l’instant, tout ce qui se dégageait de Gaël était loin d’être impressionnant. La fatigue, l’angoisse, la tristesse, la haine envers lui-même, ainsi qu’en cet instant, l’appréhension. Une goutte de sueur froide dévala sa colonne vertébrale, le faisant frissonner. L’odeur se faisait de plus en plus présente. Et les bruits de pas semblaient se rapprocher.


Narcisse Noir - « Un simple élève ! »

Le Lycanthrope sursauta et fit volte-face, sans pour autant avoir l’air effrayé. Il n’avait pas peur, malgré les avertissements de la bête. Il n’était parano, et l’idée qu’on puisse l’attaquer ne lui avait même pas effleuré l’esprit, bien qu’il se trouve dans la forêt interdite. Gaël laissa son regard azur se promener sur la silhouette en face de lui. La peau pâle, contrastant à merveille avec les cheveux et les vêtements noirs. Un air sûr de lui – détestable, songea Gaël avec mépris. Le cœur de Gaël manqua un battement au sourire du Serpentard, tandis qu’il comprenait à qui – quoi – il avait affaire. Laisse moi sortir.

Narcisse Noir - « Alors, gros toutou, on a perdu ses poils et ses griffes ? Que se passe-t'il Médor ? La lune fait des caprices ? C'est vrai que vous, les Loups-Garou, êtes inférieurs aux Vampires... Vous n'êtes efficaces qu'une seule fois par mois ! Et encore, si on peut appeler ça de l'efficacité... Pas capables de se contrôler ! Et en plus, avant, vous êtes sensibles comme des héroïnes des « Feux de l'amour » ! Mi-nable ! Et tu devrais songer à te laver, Rex. »

Gaël sentit la haine et le mépris monter en lui, comme si les paroles du Serpentard étaient un poison qui s’infiltrait par les pores de sa peau. Qu’avait-il à le bouffer comme ça sans raisons ? Ce n’était pas parce que Môssieur était de mauvaise humeur pour une quelconque manière qu’il pouvait se permettre de l’insulter ainsi ! Ou alors il faisait ça par plaisir ? Tsss. Le jeune Lycanthrope remarqua alors qu’il était obligé de lever la tête pour regarder l’autre imbécile. Il n’avait pas l’habitude, normalement, c’étaient les autres qui devaient se redresser. Oh il détestait cette situation d’infériorité. Et ça n’allait pas durer plus longtemps, il n’était ni en état ni d’humeur à provoquer une quelconque querelle avec une asperge aussi intelligente qu’un poisson d’eau douce. Il essaya tant bien que mal d’ignorer le geste du Serpentard, mais c’était trop tard, il l’avait vu, et il n’allait pas laisser passer ça. Mordre. C’était une question d’honneur, il ne pouvait pas laisser le Serpentard s’en tirer comme ça ! Déchirer.

Narcisse Noir - « Tiens. Tu ne serais pas Gaël de Seryes ? Celui qui s'est vu le poste de Préfet de Serdaigle lui filer sous le nez ? Celui qui est jaloux - à juste titre parce que nous te sommes supérieurs - de Jasper Cullen ? Je m'appelle Nathaniel Cullen, Préfet de Serpentard, au cas où tu ne le saurais pas déjà, ou que ton cerveau ressemble à passoire, ou que ta capacité de mémorisation soit égale à celle d'une petite cuillère. »

Ainsi donc c’était un Cullen. C’en était trop. Grogner, hurler. Les prunelles bleues du Serdaigle devinrent légèrement plus foncées, signe qu’il était sur le point d’exploser. Son regard était tinté de mépris et de dégoût pour la créature en face de lui. Sortir. Avait-il besoin de lui rappeler que cet imbécile de Jasper lui avait volé son poste de Préfet ? Mordre, faire couler son sang impur. Les Cullen s’étaient-ils passé le mot pour l’emmerder ? C’était vraiment nécessaire, que tout ça lui tombe dessus ce jour précis ? Faire mal. Bien. Puisqu’il n’avait pas le choix.
Gaël ancra son regard dans celui de Nathaniel, prenant un air hautain, mauvais.

« C’est bon, t’as fini ? Tu peux remballer ta langue fourchue derrière tes dents jaunies, Dracula, ça ne m’atteint même pas. Mais dis moi… ce n’est pas plutôt toi, qui te sens en position d’infériorité, pour avoir ce besoin primitif de m’attaquer le premier ? lança le jeune Français d’une voix rauque, de son accent un peu étrange, mais pas désagréable pour autant. Au moins, je ne suis pas dépendant des Humains. »

Un sourire carnassier vint faire son apparition sur les lèvres fines du Loup-garou.

« Je n’ai pas besoin de sucer leur sang pour éviter de tomber en poussière, moi. Ca te plaît, d’être dépendant des autres comme ça ? Ca te plaît de devoir faire du mal à des innocents pour prolonger ta misérable petite vie ? Moi au moins, je ne me transforme en bête stupide et sanguinaireGrogne - qu’une fois par mois. Ce qui apparemment, n’est pas ton cas, tu sembles faire dans les prolongations. »

Gaël marqua une pause, reprenant son souffle par la même occasion. Puis il reprit sur le même ton :

« Nathaniel Cullen, hein ? Je me disais aussi qu’un être aussi méprisable ne pouvait appartenir qu’à la famille Cullen. Dis-moi, tu es le seul monstre de la famille ou il y en a d’autres comme toi ? »

Le Français se retint de grimacer. Sa répartie n’était pas excellente, il pouvait faire bien mieux, mais il n’était pas en état de se lancer dans une joute verbale enflammée et cinglante. Pourtant, à présent, une aura bestiale, animale, se dégageait de lui. Une personne très observatrice aurait remarqué qu’il était blessé par les piques de Nathaniel et mal en point. Gaël resta immobile, retenant avec peine son envie de se jeter au cou du Serpentard. Il savait que c’était le Loup qui voulait répliquer à sa manière, mais le Serdaigle n’avait vraiment pas envie de se laisser aller à des pulsions animales qu’il pourrait regretter par la suite. Il ne voulait pas tuer une seconde personne. Gaël se mordit la lèvre, songeant qu’à sa place, Maëva aurait giflé Nathaniel – ou alors, lui aurait donné un coup à un endroit plus que sensible - pour ensuite le remettre à sa place avec quelques répliques bien senties. Sa sœur avait toujours été très impulsive et pleine de répartie.
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Nathaniel A. Cullen
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MessageSujet: Re: A Bad Day Like Another (PV : Nathaniel A. Cullen)   A Bad Day Like Another (PV : Nathaniel A. Cullen) Icon_minitimeVen 10 Aoû - 15:33

HJ - Malheureusement, il s'agit d'une pièce unique et sur-mesure qui possède déjà son Copyright.

Nathaniel vit le visage du jeune loup se décomposer à mesure qu'il déversait son venin. Il vit la haine l'envahir, le posséder, le mépris l'habiter. Le Serdaigle en tremblait de rage. Il semblait prêt à lui sauter dessus, à l'écorcher, à le mordre, à le tuer. Il voyait que la bête en lui se débattait. Les Loups-Garou sont vraiment des imbéciles bourrins. Nat en fut ravit. « Fais en sorte que ton ennemi perde ses moyens et fais tourner sa colère à ton avantage. » Article 8 du « Guide du Parfait Cullen » by N. Cullen. Pour info, l'article 1 est aussi simple que : « Nathaniel Artemis William Edward Cullen a toujours raison, obéis lui sans réfléchir. » Comme ça, vous êtes prévenus. Bon, revenons à notre louveteau préféré. Il était furieux. En plus, le Vampire diabolique se savait en position de supériorité : 1) Gaël ne pouvait pas - théoriquement - se transformer ; 2) Il était fou de rage, donc fragilisé ; 3) Nat courrait plus vite que lui ; 4) Il était plus fort ; 6) Plus grand aussi ; 7) Il avait des crocs tranchants prêts à servir ; 8) Il était un Cullen, et s'il lui arrivait quelque chose, Carlisle ferrait jouer toutes ses relations pour envoyer la Boule de Poils à Azkaban.

Hahaha ! Que c'est bon de se sentir fort ! C'est un truc de mecs ça, un truc de mâles dominants. Et là, le mâle cominant c'était Nathaniel. Pourtant, Gaël était à Hogwarts depuis bien plus longtemps que lui, Nat n'était arrivé que cette année, pourtant il comptait bien prendre sa place, se répendre partout, tel un poison sans antidote. Ce ne serait pas difficile. Partout où il allait, le bel androgyne faisait sensation. Il était magnifique, fort, brillant, intelligent, parfait. Trop parfait. Bien sûr, cette perfection n'était qu'un masque. Mais un masque sans faille, jusqu'à présent. Le jeune homme se débrouillait pour que personne ne connaisse trop de choses sur lui. Comme ça, aucun moyen de percer sa carapace. Moins les gens en savaient, mieux il se portait. Article 4.

Bon, suffit. On arrête de s'égarer. Si vous voulez la liste complète des articles du « Guide du Parfait Cullen », envoyez-moi un hibou. Le Vampire, très observateur, voyait bien que ses acides réparties avaient blessé le Lycanthrope. D'ailleurs, ses yeux bleus devienrent plus foncés. Bon signe... et mauvais signe. Nat avait ici la preuve qu'il avait touché le jeune homme mais en même temps, il prenait le risque qu'un loup lui éclate à la tête. Si ce n'était pas maintenant, ce serait plus tard. A la fin du piquant discours du jeune Cullen, Gaël ancra son regard océan dans l'encre des iris de ce drenier. Il cracha, haineux et hautain, avec un accent Français assez prononcé, mais pas gênant :


Gaël - « C’est bon, t’as fini ? Tu peux remballer ta langue fourchue derrière tes dents jaunies - le Vampire lui fit un sourire éclatant de blancheur -, Dracula, ça ne m’atteint même pas. Mais dis moi… ce n’est pas plutôt toi, qui te sens en position d’infériorité, pour avoir ce besoin primitif de m’attaquer le premier ? Au moins, je ne suis pas dépendant des Humains. »

Nathaniel ricana cependant qu'il examinait ses ongles manucurés avec détachement, effronté et insultant. Il avait l'air de bien s'amuser avec son petit sourire en coin et ses yeux brillants. Gaël continua sur sa lancée :

Gaël - « Je n’ai pas besoin de sucer leur sang pour éviter de tomber en poussière, moi. Ca te plaît, d’être dépendant des autres comme ça ? Ca te plaît de devoir faire du mal à des innocents pour prolonger ta misérable petite vie ? Moi au moins, je ne me transforme en bête stupide et sanguinaire qu’une fois par mois. Ce qui apparemment, n’est pas ton cas, tu sembles faire dans les prolongations. »

Le bel androgyne s'esclaffa à nouveau - en essayant cependant de l'étouffer -, comme si le Louveteau venait de dire une bêtise particulièrement idiote, ou qu'il venait de commettre une faute de goût des plus cocasses. Il riait, son agréable même s'il était teinté de sarcasme, d'une plaisanterie, qu'apparemment, lui seul pouvait comprendre. Il commensait vraiment à être d'une insolence qui frisait le foutage de gueule.

Gaël - « Nathaniel Cullen, hein ? Je me disais aussi qu’un être aussi méprisable ne pouvait appartenir qu’à la famille Cullen. Dis-moi, tu es le seul monstre de la famille ou il y en a d’autres comme toi ? »

Notre sale gosse favori laissa alors libre cours à son hilarité. Son rire argentin tinta dans l'air froid, se répercutant contre les tronc des arbres, semblant venir de partout. Le jeune homme du même se cramponner à son frêne pour ne pas tomber. Il jeta un coup d'oeil à la mine dégoûté et scandalisée du Lycanthrope qui semblait sur le point de craquer. Nat se redressa alors tant bien que mal, et épousseta son trench noir en pouffant de rire. Il prit plusieurs inspirations calmer son accès de joie moqueuse, puis reprit son sérieux. Bien que le coin de ses lèvres frémit. Nathaniel leva un index long, fin et blanc, d'un geste autoritaire, et signala de son ténor léger et posé :

Narcisse Noir - « Stop, stop stop. On se calme, très cher. Ton discours passionné - tu devrais passer une audition pour devenir commentateur de combats de lutte entre gnomes, tu serais parfait - comporte plusieurs erreurs majeures. »

Avec un petit air innocent des plus agaçant, il s'éclaircit la gorge et argumenta, sûr de lui, d'une voix chantante :

Narcisse Noir - « Bien. Premier point, très important. Je ne suis pas dépendant des humains. Aussi étrange et contre-nature que cela puisse paraître, je me suis imposé un régime « végétarien ». C'est à dire que je me nourris exclusivement d'animaux comme l'ours, le puma ; tout en respectant l'environnement. Donc, je chasse les prédateurs là où ils sont en surnombre. Je pourrais chasser des cerfs ou des biches, mais où est l'amusement sinon ? Ce n'est pas drôle. Jusqu'à présent, il n'y a eut aucune attaque, non ? Excuse-moi, mais je n'ai pas encore entendu parler d'un élève décédé par une mystérieuse morsure. Et si c'était arrivé, je serais immédiatement renvoyé et jugé, alors... Mais toi... Tu as sans doutes déjà tué quelqu'un, non ? J'imagine que oui. Les Loups-Garou sont si impulsifs, idiots et incontrôlables. C'est af-fli-geant ! Donc, réfléchissons. » Fit-il en faisant les cent pas, tel Sherlock Holmes en pleine déduction, sûr de lui. « D'après ce que je sais, les Lycanthropes ont peu de résistance à la colère. Donc, tu as du tuer ta victime lors d'un accès de rage. Bien sûr, ce n'est qu'une conjecture, qui me semble toutefois logique. Continuons. On ne se met pas vraiment en colère contre des personnes que l'on connait peu ou pas. Par conséquent, c'est une personne que tu avais l'habitude de cotoyer, qui était proche de toi. Ce qui nous ammène à penser que ta victime était un ou une meilleur(e) ami(e), une soeur, un frère ou un parent. »

Il s'arrêta de marcher, se tourna vers le jeune homme, et demanda d'un air sérieux et intéressé :

Narcisse Noir - « Qu'en penses-tu ? J'ai juste ? Qu'as tu à dire sur mon raisonnement ? » Mais il coupa : « Enfin, tu me diras plus tard, je n'ai pas finit mon argumentation sur tes grossières erreurs. Bien. Concernant les Cullen, il n'y a que moi qui soit un Vampire. Et ne te laisse pas guider par les préjugés, ne fais pas de généralités, c'est stupide. Tu sais, comparé à moi, Jasper est aussi doux et innocent qu'un agneau nouveau-né. Tu n'imagines même pas le nombre de points de sutures qu'il a eut à cause de moi. Et encore, je n'étais même pas un vampire à cette époque. Ma jumelle est adorable, tout le monde l'aime. Caractériellement, elle est mon contraire. Par contre, ma grande soeur me ressemble. Mon père, le célèbre et talentueux Dr Cullen, est un ange descendu du ciel, tout comme ma mère. Et toi, de quoi - hum pardon - de qui est composé ta famille ? »

Le jeune homme s'était un peu rapproché de Gaël, histoire qu'il ai un face-à-face digne de ce nom. L'horrible odeur se fit plus forte, mais il fit des efforts pour la supporter.
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