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 Rosalie |Meredith| Cullen {E.C.}

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Rosalie M. Cullen

Rosalie M. Cullen


Nombre de messages : 2
Age : 36
Date d'inscription : 10/07/2007

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MessageSujet: Rosalie |Meredith| Cullen {E.C.}   Rosalie |Meredith| Cullen {E.C.} Icon_minitimeJeu 12 Juil - 15:42

I. Identité Général.






  • Nom, Prénom: Rosalie Meredith CULLEN
  • Age, Date de Naissance: 17 ans/ Née le 16 Décembre 1990 à Chicago.
  • Sexe: Etes-vous simples d’esprit ou jouez-vous la comédie ?



  • Année à Poudlard: Septième année à Serpentard. Vous en douter ?!
  • Origine [Aisé, Pauvre, Moyen] // Ascendance [Pur, Mêlé, Moldu] // Nationalité:On a l’impression que vous ne connaissez pas la famille Cullen. Pourtant, dès leur arrivée en Angleterre et plus particulièrement à Poudlard, pour les enfants Cullen, beaucoup se mirent à parler d’eux. Comme si nous étions des phénomènes de foire. Déplorable. Famille aisée et ayant un certain prestige par son nom et son ascendance passée, les Cullen était autrement une famille de sorciers de sang-purs britannique. Cela changea depuis une vingtaine d’année. Fille d’un père sorcier au sang-pur et d’une mère moldue, Rosalie ainsi que les jumeaux sont des sangs mêlés et ne s’en plaignent pas. Après tout, qui peut se vanter de connaître deux mondes différents parfaitement. Mélange étonnant qui reste toujours dans les hauts rangs de la hiérarchie tout en mélangeant en même temps les origines. Etant cependant née en Amérique, Rosalie est américaine bien qu’elle se considère plutôt comme étant mi-américaine, mi-anglaise, ne reniant aucun des côtés.




    II. Caractère.
  • Caractère:


    {Interview du 10 Juin 1997, dans la demeure des Cullen}




- « Bonjour Mlle Cullen. Je me présente, je suis Madame Lopper et voici Madame Juite. Nous appartenons à l’association des parents d’élèves de Poudlard (si celle-ci existe ><).
- « Madame Lopper. Madame Juite. Enchantée de vous connaître. »
- «Comme votre père, Mr Cullen, a dû vous prévenir, nous sommes venus pour vous poser quelques petites questions, si vous êtes consentante bien entendu. »
- « Je vous en prie. »
- « Merci de votre compréhension. Ainsi, vous et votre famille venez d’emménager en Angleterre. Quels sont donc les raisons de votre brusque changement de pays ? »

Ca commençait mal déjà. Léger sourire pour ne pas montrer son mécontentement.

- « Je pense que vous devriez voir cela avec mes parents. Pour vous répondre, je dirai que notre père souhaitait revoir le pays de son enfance et nous le faire partager. »
- « Je vois. Dans votre ancienne école, vous faisiez partie du corps administratif en tant que… « déléguée ». Pouvez-vous nous en dire en peu plus ? »
- « Être délégué signifie être responsable d’une classe. En peu comme vos préfets à Poudlard. A Forks, les délégués étaient choisis par rapport à leurs capacités intellectuelles donc leurs résultats, mais également leurs activités extrascolaires telles que le sport ou la musique. »
- « On dit de vous que vous êtes assez… sournoise et hautaine. Que vous n’avez pas froid aux yeux. Comment vivez-vous ses accusations, sans doute fausses et émises par pure jalousie ? »
- « Qui dit qu’elles sont fausses ou vraies ? » Lueur d’amusement au fond des yeux. « Ce que les gens disent ou puissent penser ne m’intéresse pas. »
- « Mais… Vous devez bien avoir des personnes proches de vous autre que votre famille. Après tout, beaucoup de personnes louent votre beauté et votre charisme dans l’école. Vous devez être donc bien entourée. »
- « On dit de moi que je suis solitaire. Quand pensez-vous ? En toute honnêteté, vous pensez vraiment que je ressemble à ses filles que l’on repère par les cris suraigus et débiles que l’on ose appeler « rire ». Comme si cela m’intéressait de me faire remarquer dans une rue ou autre. De toute façon, même si je ne le voudrai pas, on arrive à me remarquer. Et apparemment, cela ne serait pas par la « chaleur » d’un sourire ou d’une présence. Bien qu’il y est des exceptions. Il y a toujours des exceptions. Après tout, une vie n’est pas parfaite, loin de là… »
- « Vous voulez dire qu’avec certaines personnes vous vous montrez… plus chaleureuse, plus sensible, voire plus humaine ? »
- « Je dis que vous posez beaucoup trop de questions qui ne vous concernent pas. Pour votre propre bien. » Silence suivi d’un sourire en coin de la part de la Serpentarde. « De plus, pourquoi donc tenteraient-ils de s’approcher de moi ? Si indignes d’intérêt. Sans intérêt, je ne vois pas ce qui m’oblige à leur répondre, tout comme à vous. Le silence est d’or au contraire de la bêtise humaine. Or, nous sommes tous humains sauf que moi je ne m’abaisserai jamais à être « stupide » ou à me comportez comme tel. Se serait indigne de moi et de ma famille. Or, il est hors de question qu’un dénigrement s’abatte sur ma famille par ma faute. Tout comme je plains fervemment ceux qui auront la stupidité, plus que l’audace, de s’en prendre aux miens. »
- « Vous voulez dire que vous vous interposerez si on cause des ennuis à votre frère ou votre sœur ? Vous les protégerez. Digne d’une grande sœur. »
- « Je veux tout simplement dire que s’interposer n’est qu’une phase onctueuse qui s’étend le long du cours d’eau avant de se jeter dans la mer. »
- « Une phase ?... Cela signifierait donc qu’il en existe d’autres. Lesquelles sont-elles ? »
- « Voulez-vous vraiment rester sur cette question alors que le temps qu’il vous reste vous est imparti. Après tout, nul ne peut aller contre le temps. » Grand sourire angélique qui ne reflète pas pour autant les réelles pensées de la jeune fille. Celles-ci sont pourtant assez implicitement métamorphosées : Poursuis et termine rapidement car je perds patience. Mais la bienséance doit être de mise et de rigueur, dans tous les cas.
- « Hum… Et bien… Merci à vous d’avoir répondu à nos questions, Mlle Cullen. Au plaisir de vous revoir tantôt. »
- « Remerciez plutôt mon père en sortant. Néanmoins, je vous remercie également de votre… dévouement ainsi que de cet « agréable » moment passait en votre compagnie. Au plaisir de vous recroisez, peut-être le quatrième Jeudi du mois. Madame Juite. Madame Lopper. Je vous souhaite une douce journée. »

Sur ses mots plus que doublés de sens et controversés, Rosalie se leva du fauteuil où elle venait de passer plus d’une heure à maitriser ses nerfs et à s’amuser en mêlant ironie et l’art du paraître devant ses deux femmes que la curiosité avait surement que bien trop mener par le bout du nez. D’un pas élégant et aérien, elle se dirigea vers l’escalier lorsqu’une voix l’interpella.


- « Rosalie ! »
- « Oui père ? »
- « Tu aurais pu te montrer un peu plus… enjouée et coopérative, ne crois-tu pas ? »
- « J’ai répondu à toutes ses questions comme vous le souhaitiez, Papa. Pour la forme, je ne voyais pas pourquoi il fallait que je me force à faire semblant d’apprécier cette personne que je ne reverrai pas. »
- « Qui sais, peut-être auras-tu à la revoir. »
- « J’y veillerai que non. »
- « Tu ne changeras donc pas. »
- « Je ne vois pas pourquoi. On m’aime comme je suis après tout. »
- « Notre petit chat sauvage. »

Deux sourires qui éclairent deux visages. Un père et sa fille. Une famille que beaucoup ont dû mal à comprendre, approcher et côtoyer. Mais qui vous dis qu’ils ont besoin de vous ? Ils se suffisent à eux-mêmes. Ils sont eux. Uniques en leur genre. Entiers dans leurs caractères et leurs intentions. Chercherez-vous à les changer ? Sincèrement, on ne le souhaite pas pour vous.

Bien entendu, il y a des choses que l’on évite de révéler lors d’une interview n’importe lequel que fusse. Ainsi, on pouvait laisser sous-entendre une certaine froideur bien qu’une politesse admise. Ainsi, nous éviterons de parler publiquement de la légère tendance de conspiration et de sournoiserie de la jeune fille. Mais, celles-ci sont bien présentes dans sa vie. Que voulez-vous, rien ne vient tout seul dans son assiette. Il faut savoir provoquer certaines choses tout en gardant le secret. Mystérieuse, méfiante, orgueilleuse et fière, Rosalie ne se dévoilera jamais au grand jour. L’art des apparences posées et calmes en toutes circonstances. Elle arrive toujours à avoir ce qu’elle cherche, en s’armant de patience. Seule cas de figure où la jeune fille se montre un tant soit peu patiente. Mais toute personne n’est mauvaise ou bonne. Il y a en tous une part d’ombre et de lumière. Chez Rosalie M. Cullen, on pourrait associer ses deux tendances à trois personnes. Etant l’ainée, elle considère comme un pouvoir et une obligation que de protéger Alice, Nath et Jasper. Une part de lumière qui s’installe dans sa vie lorsqu’ils apparaissent et d’ombre lorsqu’on s’en prend à eux ou que quelque chose leurs arrivent. Pour l’instant, une seule personne arrivait à communiquer normalement avec l’ainée des Cullen et à se considérer comme étant son ami. Une seule personne en dix-sept ans en dehors de sa famille. Or, celle-ci se trouve loin maintenant, puisqu’elle réside toujours en Amérique. Des adieux que la jeune fille préféra y tourner au tragique et sans retour possible afin de moins souffrir. Rosalie a dû mal avec les relations humaines. Peut-être est-ce parce qu’elle se méfie trop des autres. Fière, elle n’acceptera pas de montrer ses émotions négatives à autrui, de peur qu’on s’en serve contre elle. Pour s’en approcher, il faudra que vous lui plaisiez ce qui risque de faire barrage puisqu’il se trouve qu’elle est assez difficile sur ce point. Beaucoup disent de Rosalie qu’elle est forte. Mais la plus grande force est celle de ne pas paraître faible. Le regard des autres ne la dérange pas. Etant l’ainée des Cullen, elle s’en est habituée. Toujours parfaite. Toujours neutre. Toujours elle.


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Rosalie M. Cullen

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MessageSujet: Re: Rosalie |Meredith| Cullen {E.C.}   Rosalie |Meredith| Cullen {E.C.} Icon_minitimeJeu 12 Juil - 16:07


  • Aime, Passions, Hobbies:


Des hobbies ? Une passion ? Une préférence ?... Et bien, ce questionnaire est bien impoli de poser toutes ses questions assez indiscrètes. Mais allons-y, répondons-y. Par quoi pourrions-nous commencer ? Depuis toute petite, il n’était pas rare de voir Rosalie trainait avec les jumeaux Alice et Nathaniel. Ainsi, il n’est pas incompréhensible que plusieurs points les lient. Autant les jumeaux aiment la littérature et plus particulièrement le théâtre. Il est vrai que Rosalie aime ce jeu de personnalités qui s’opère dans le théâtre, où chaque personne se doit de porter un masque (abstrait ou non) afin de rendre la pièce de théâtre plus vivante et vibrante. Néanmoins, ce n’est pas pour autant qu’elle s’en émeut ou autre en public. Mais il ne s’agit pas d’une passion comme on peut le trouver chez les Jumeaux Cullen. Non, pour Rosalie, il s’agirait plus d’un hobbies. Cependant, Rosalie serait plus fascinée par la danse. Les danses de salons. Petite, elle a tellement bassiné ses parents avec qu’elle prit des cours dès ses six ans. Aujourd’hui, il est rare que de la voir assise sur un fauteuil lors d’une soirée mondaine. Néanmoins, à cause de sa sauvagerie et de son manque de confiance en autrui, elle ne danse jamais deux fois avec la même personne et préfère danser avec les membres de sa famille, notamment son père d’où on dit qu’elle tire la plupart de ses traits et son aptitude à la valse. C’est la seule chose que Rosalie aime dans ses réceptions et ce qui la décide à si rendre à peu près de bon gré.

Il n’est donc pas impossible que de penser par la suite que la jeune fille aime « bouger » et se « dépenser ». Le sport. Malgré son aspect toujours parfait, son port de taille correct et son allure élégante digne d’une grande femme de noble lignage, Rosalie s’encourage à la pratique d’un sport. D’un seul ? Hum, pas tout à fait. En effet, accompagnant son frère et sa sœur sur le terrain de base-ball, il lui arrive souvent d’en jouer bien qu’il ne s’agisse pas de son sport préféré. Quant au tennis, nous pouvons dire que ce sport lui correspond plus en alliant la finesse, la précision, la rapidité et l’élégance. Elle peut même vous avouer, sans modestie aucune, qu’elle se débrouille très bien. Mais là où elle excelle, se serait plutôt dans le volley. Agréable sport collectif que celui-ci. Oui, oui, vous avez bien entendu alors ne me le faites pas répéter. Ce n’est pas parce qu’on est méfiante que l’on ne peut pas se mêler aux autres dans la combattivité. Tentera-t-elle d’entrer dans l’équipe de Quidditch de sa maison ? Après tout, ses parents lui ont appris à manier un balai.

Quant à ce que Rosalie aime… Nous pouvons qu’il y a le choix entre sa tranquillité, sa famille et sa voiture. Bien entendu, les trois ne devraient pas être mises sur le même plan, les deux premières étant plus hautes mais tout de même, nous ne pourrons le nier plus longtemps : Vous êtes morts et abandonnez sur une fourche au milieu d’un champ emplie de corneilles si vous n’osez ne serait-ce que de toucher à sa voiture. Vous enterrez serait vous apportez trop d’honneurs. Alors imaginez si vous y faites une mini-rayure. Une 306 Spider bordeaux (donc rouge foncé ^^) avec intérieur en cuir noir. De quoi vous faire rêver, non ? Imaginez donc à combien ce petit bijou (cadeau d’anniversaire) peut monter. Le rêve. Autant vous préciser un dernier point : Rosalie aime beaucoup jouer avec sa vie mais jamais celles des jumeaux. Surement une question d’orgueil.

  • N'aime pas, Phobies:


On dit que les contraires s’attirent. Est-ce pour cela qu’il fallait s’attendre à ce que vous demandiez le contraire dès à présent. Décidément, vous n’êtes que trop curieux. Mais, un engagement est un engagement et Rosalie Meredith Cullen n’a qu’une parole. Tâchons de la tenir sans vous lancer un sortilège avant la fin. Vous a-t-on dit que la curiosité était un vilain défaut ?

Premier cas de figure : Les potiches sans cervelle qui ont tenté et tentent encore de s’approcher de son frère. Une chose est certaine : s’il ramène une fille comme cela plus tard, d’un elle ne passe pas la porte et de deux, cela risque de chauffer tout en douceur mais surement pour lui. Petit frère, tu es prévenu. Trop protectrice, cela la regarde. Imaginez-vous d’avoir tenir une conversation (ce qui est déjà grand pour la miss si vous n’êtes pas un Cullen) avec une espèce de potiche qui possède une voix démesurée dans les aigus, papillonne des cils toutes les secondes, se remet du rouge à lèvre tous les quart d’heure et essaye de se rendre intéressante dès qu’une personne du sexe opposé passe à ses côtés ? Pour Rosalie, la réponse est clairement négative. Ainsi, la jeune fille n’aime pas les personnes cherchant à se faire remarquer par tous les moyens et les greluches qui tentent d’imposer leurs griffes sur Nathaniel. Seuls Alice et elle possèdent ce droit bien que de façon diverse. Cependant, n’imaginez pas qu’il s’agisse que d’une exception dans cette famille car cela vaut de même pour Alice. Cela pourrait peut-être même être pire pour la personne qui aurait l’audace que de s’y approcher que de trop près. Il faudrait que la personne lui plaise (moralement) un tant soit peu, ce qui risque d’être difficile. Attendez, vous n’allez tout de même pas vous imaginez qu’elle va laisser sa petite sœur, sa petite poupée de porcelaine avec un rustre ou une personne qui ne lui conviendrait en aucun point ?! Quelle sœur indigne elle deviendrait. Quant à Jasper, il n’est pas non plus à l’abri des tendances surprotectrices et obstinées de sa cousine. En clair, six petits mots : Ne touchez pas à sa famille !

Deuxième cas de figure : Les préjugés ? Une si petite chose qui prend pourtant autant d’importance. Pourquoi donc les personnes ne pensent-elles pas à aller vérifier les propos par eux-mêmes ? Par peur ? Les lâches. Rien de bon que tout cela et après vous voulez qu’elle « côtoye » plus de monde ? La bonne blague. Tous pourris jusqu’à la moelle. Ainsi, Rosalie n’aime pas les préjugés bien que lorsque ceux-ci la touche elle, elle s’en amuse. Il est si facile de berner une personne naïve parfois. Cela en devient un jeu. La vie est un jeu. Ne venez pas auprès d’elle pour lui confier un secret qui n’est qu’un bruit de couloir ou attendez-vous à de sérieuses représailles pour avoir troubler son moment de paix intérieur et de solitude.

Troisième cas de figure : Les sales vantards qui s’approprie ce qui appartient aux autres. Ceux qui se prennent pour les plus forts mains qui n’ont aucun courage ni même aucune once d’esprit. Ceux qui suivent LE plus fort, LE chef d’une bande car ils ont trop peur de se retrouver seuls et d’être perdus dans l’immensité de la vie. Pourquoi ne prennent-ils donc pas leur destinée et leurs vies en main ? Allez savoir. Trop lâches et trop peureux sans nul doute. D’ailleurs, on pourrait rajouter que Rosalie n’a aucune confiance en les professeurs de Poudlard. Pourquoi ? Car ceux-ci sont au courant du secret de son frère. Ainsi, il n’est pas rare qu’elle prenne un professeur en grippe si celui-ci se montre un peu trop dur ou étouffant pour son frère. Il n’a pas besoin de leur surveillance. Les Cullen sont au nombre de trois à Poudlard pour s’en occuper. Ils ne font pas partis de la famille, comment pourrait-il comprendre ou penser qu’ils sont les seuls à pouvoir faire quelque chose pour lui ? Vantardise.
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