Darla O'Maley

I ] IDENTITY *
NOM ]
___O’Maley
PRÉNOMS ]
___Darla, Aine*, Rose
ÀGE ]
___Dix sept ans
DATE DE NAISSANCE ]
___Quatorze mai
SEXE ]
___Féminin
ANNÉE À POUDLARD ]
___Septième
ORIGINE ]
___Classe moyenne
ASCENDANCE ]
____Sang mêlé
NATIONALITÉ ]
___Irlandaise

II ] PERSONALITY *

CARACTERE ]
___Bien qu’on lui croirait parfois de petits airs angéliques, Darla en est le parfait contraire, derrière ces yeux bleus se cachent une petite boule de nerfs, hyperactive et, en s’accordant aux dires de son entourage, complètement cinglée.

Darla fait partie de cette minuscule partie de la population qui pense que la vie est comme un gros fromage, malheureusement, il serait impossible pour elle d’expliquer le fond de sa pensée. Elle n’aime pas se compliquer la vie, pour elle, si une chose est comme ça, elle est comme ça, point barre, elle déteste aller chercher des choses plus loin que ce qu’elle voit. Elle déteste aussi quand les gens vont chercher des messages subtils dans ce qu’elle dit, Darla est loin d’être la fille la plus subtile sur terre et la plupart de ses paroles sont sans fondement, quand elle parle, elle parle pour parler.

Elle est très sympathique avec la plupart des gens qu’elle rencontre, comme je l’ai déjà dit, c’est une sociable, bien qu’elle ai rarement quelque chose d’intéressant à dire, elle trouve quand même toujours un truc à raconter, une anecdote à faire, que cela intéresse ou non son vis-à-vis. Plusieurs personnes la voient comme une « semi hyperactive », elle peut être, à un moment très calme et l’instant d’après faire une imitation sauvage et engagée de Rusard en pleine crise de colère. Certains voient cela comme une qualité, d’autres non.

En revanche, elle est extrêmement lunatique, pour s’accorder aux dires de ses camarades, elle plane. Sur son visage, on peut toujours remarquer des yeux perdus, fixant le vide et une bouche qui avance, comme un canard, lui donnant un petit air de poisson égaré, c’est une bonne partie de la raison pour laquelle elle n’a que rarement des choses intéressantes à dire, mais elle se débrouille quand même.

« Parfois, j'ai l'impression qu'ils ne se rendent pas compte. Qu'ils ne s'aperçoivent pas que je ne peux pas tout le temps être là pour les rendre heureux, leur faire des blagues et les "cheer up" comme on dit, c'est toujours comme si j'étais celle qui n'a pas le droit d'être triste, de mauvaise humeur ou tous simplement fatiguée, comme si mon statut d'amuseur public m'interdisait d'avoir des "down", comme si j'étais née avec un chapeau à grelots sur la tête.

« Pourtant, en mon fort intérieur je sais que je ne suis pas comme ça, c'est un peu comme si je m'étais donné un personnage de jeune fille sociable et amusante que je jouais continuellement et que je ne pouvais pas arrêter. Maintenant, c'est devenu comme l'avenir d'une pièce de théâtre qui repose sur une de ses actrices, il n'y a plus personne d'autre pour rendre le sourire à ceux qui n'en ont plus envie, plus personne pour faire semblant de draguer n'importe qui, plus personne pour faire des blagues stupides au beau milieu d'un cours ennuyeux, plus personne pour se lever sur un bureau et crier quelque chose qui n'a aucun sens afin de distraire la galerie, si je ne suis pas là pour amuser la foule, personne d'autre ne le fera.

« D'accord, c'est vrai, je n'ai rien fait pour empêcher ce personnage de venir au monde, je dois bien l'avouer, il me rend bien service. C'est grâce à lui que j'ai des amis, grâce à lui que je peux trouver n'importe quelle situation opportune pour m'en faire de nouveaux, grâce à lui que je n'ai jamais pu me plaindre du manque d'amour dans ma vie. J'ai beau trouver que ce personnage n'est pas réellement moi, avec le temps, il a fini par le devenir, un peu comme quand un jeune acteur joue un rôle durant toute son enfance, il finit toujours par garder ses manières et son caractère en dehors de la scène.

« En fin de compte, ils n'ont pas complètement tort. Je n'ai jamais rien fait pour les empêcher de croire à mon personnage, pour eux je ne peux pas être de mauvaise humeur, mais si je ne passais pas mon temps à la cacher, ils s'en seraient peut-être aperçus plus tôt, non ? J'ai beau me plaindre de ma situation, je suis bien plus heureuse que la pauvre fille qui passe son temps au fond de la classe sans parler à personne. Et d'un autre côté, je dois admettre que j'ai bien de la chance d'être celle qui, sans même y réfléchir, va parler à cette fille et l'intégrer dans la société. »

La personnalité de Darla n’est pas de celles que l’on peut résumer en quelques lignes, elle n’est pas simplement complexe, elle est changeante. Selon son entourage, elle est une vraie gonzesse sur ce point là. On pourrait dire qu’elle – sa personnalité – évolue en deux partie.

La première, c’est la face publique de Darla, la fille sociable qui aime se donner en spectacle, celle qui ne rate pas une occasion de se faire remarquer, qui choisit diverses victimes pour des blagues à répétition plus infantiles les unes que les autres. Cette facette, c’est celle que connaissent la plupart des gens, celle qu’on aime ou qu’on déteste mais que l’on n’a pas le choix d’endurer, puisqu’il faut bien plus qu’un vulgaire « Ta gueule » pour en venir à bout de Darla.

C’est quand elle suit cette voie que ses congénères ont droit à toutes sortes de blagues, si elle décide de suivre l’avis de quelqu’un et non d’un autre, elle ne pourrait se contenter de vaquer tranquillement à ses occupations avant d’avoir bien précisé à la personne numéro un que c’est parce qu’il ne l’aime pas. Souvent on lui a dit de na jamais inclure d’insultes raciales dans ses blagues et c’est un conseil qu’elle devrait effectivement suivre plus souvent, car si elle-même sait très bien que ce n’est pas réellement parce qu’il est arabe qu’elle a refusé de donner un Fizwizbiz à Ahmed, elle ne réalise pas tout le temps que son homologue ne le saura peut-être pas.

C’est également sous ce profil qu’elle aime autant se donner en spectacle, pour elle, aucune occasion n’est pas la bonne pour donner un aperçu de son talent en public. Bien qu’elle chante depuis des années, elle ne réalise pas pour autant que les gens n’ont probablement pas envie de l’entendre. Et même si elle ne chante pas, elle trouve encore le moyen de se montrer au grand jour par divers moyen que ce soit. Le point positif, c’est que si on lui demande de détourner l’attention de quelque chose, on ne pourrait rêver une meilleure diversion.

La deuxième partie, c’est celle que personne ne voit, la partie uniquement connue d’elle-même. L’artiste. En effet tout le monde voit Darla chanter à tout bout de champ, mais personne ne se doute du fait qu’elle prend réellement ça au sérieux. Après tout, comment se douter que derrière cette hystérique bruyante et dérangeante se cache quelqu’un de charmant et de délicat. En un sens, elle est à la fois introvertie et extravertie.

Introvertie, dans le sens ou quand tout le monde se presse pour observer le point d’action du moment, Darla, elle est absorbée dans la contemplation d’une chenille qui se tortille sur sa feuille dans le but de parvenir à en manger un morceau, alors que d’autres préfèrent s’activer, elle se pose dans un coin et observe un truc inutile ou griffonne sur le premier bout de papier qui lui tombe sous la main.

Ensuite, dans les moments le moins adéquats, elle choisit d’être extravertie, prenons par exemple ses cours d’histoire de la magie, bien que Binns soit pour la plupart des gens un vrai supplice, pour Darla, c’est l’occasion rêvée de pimenter le quotidien des autres, peut importe les moyens, elle improvise généralement sur place.

Depuis quelques temps, elle a commencé le yoga, bien qu’elle doive admettre qu’il existe des position plus glorieuses que la tête enfoncée dans le sol et le popotin en l’air, elle ne peut plus arrêter, non seulement parce que ça la fait planer encore plus qu’à l’ordinaire, mais aussi parce que ça la rempli d’une sensation de bonheur inexplicable, certain appellent ça la paix intérieure, pour elle, c’est tout simplement du bonheur.

Elle a toujours été très attentive avec les animaux, elle aime s’en occuper et faire attention à eux. Que ce soit un animal classique comme un chat ou une de ces innombrables créatures étranges dont les sorciers ont le secret, Darla est très protectrice envers eux, elle est une adepte de la technique « Brigitte Bardot » et est très attachée à tout ce qui porte fourrure.

Depuis sa plus tendre enfance, Darla chante, et elle le fait magnifiquement bien. Elle n’a pourtant jamais pris de cours, elle est autodidacte, mais lorsqu’on fait quelque chose depuis que l’on a la possibilité de parler, on devient vite doué et Darla en est un merveilleux exemple, pour elle le chant c’est toute sa vie et elle réussira peut importe ce qu’il en coûte. Comme elle a une voix typiquement irlandaise, elle prévoit pour bientôt se teindre en rousse et se boucler les cheveux, d’ailleurs pour accentuer son côté irlandais elle pensait utiliser la formule « votre deuxième prénom + le nom de jeune fille de votre mère » ce qui lui donne Aine* O’Donovan, nom typiquement irlandais.

Il faut aussi savoir que c’est une fétichiste de Rusard. Son plus grand bonheur est de piquer un bon sprint dans le château avec ce cher Argus à ses trousses, bajoues au vent et soufflant comme un bœuf. C’est pourquoi elle renouvelle quotidiennement son stock de bombabouses, bien qu’elle essaye le plus possible d’être inventive, comme la fois ou elle lui a lâché un nid de Billiwigs dans son placard à balais.

Et d’ailleurs, voilà son deuxième fétiche, les Billiwigs. Non pas qu’elle les aime en tant que tel, elle les préfère largement en Fizwizbiz, mais elle possède plusieurs petites expressions de son cru telles que « Va te faire cuire un Billiwig » ou « Tant qu’à être puni autant que ce soit pour avoir volé un Fizwizbiz plutôt qu’un Billiwig ». Son plus grand plaisir est de trouver de nouvelles façons d’inclure des Billiwigs un peu partout.

Et sur une note plus conventionnelle, elle est une grande fan de Quidditch, tout comme son meilleur ami, Iev. Pour une raison qui reste mystérieuse à tout leur entourage, l’équipe préférée des deux amis est les Faucons de Falmouth, connus pour leur jeu violent et leurs célèbres batteurs Kevin et Karl Broadmoor. Leur devise semble bien leur convenir : « Remportons la victoire, mais si nous ne pouvons gagner, il y aura quelques crânes fêlés »

III ] PHYSIQUE *
PHYSIQUE ]
___Selon Darla, son physique n’a absolument rien d’exceptionnel. Non, ce n,est pas de la fausse modestie, elle est tout simplement comme la plupart des filles de ce monde incapable de reconnaître ses qualités et ne voit que ses défauts, rien d’autre.

Par exemple, elle déteste ses pieds, c’est selon elle ce qu’elle a de plus horrible, à vrai dire, Darla a ce qu’on appelle le pied égyptien, c’est-à-dire un gros orteil géant et les autres orteils qui deviennent de plus en plus petit à partir de leur copain géant jusqu’à l’autre bout.

Ses cheveux sont tout bêtement châtains, mais ça elle ne s’en plaint pas, elle les a déjà teint suffisamment de fois dans sa vie pour y repenser deux fois avant de tenter l’expérience. En revanche, ils sont ébouriffés au possible, c’est qu’elle n’aime pas beaucoup s’en occuper, la plus part du temps, elle les laisse longs et ne les brosse que avant et après les avoir lavés.

Ses yeux, elle les tient de son père, des yeux pers bleus. Le moins qu’on puisse dire sur ceux-ci, c’est qu’ils sont capricieux, changeants. Les jours de pluie ou de brouillard, les jours que l’on observe le plus souvent dans la campagne anglaise, ils s’accordent au temps environnant sur un bleu grisâtre, alors qu’en plein soleil, ils prennent une teinte plus verdâtre, claire et étincelante sans perdre leur bleu naturel. Il ne s’agit pas, en revanche d’un bleu uniforme, on peut remarquer un cercle gris foncé autour de ses yeux, puis quelques petites lignes et points plus foncés, ou verdâtres selon le moment.

Son visage est, comme sa silhouette, très féminin. Il est allongé et son menton forme une petite pointe, enfant, cela lui donnait un physique horrible d’enfant trop vite grandi, mais maintenant son visage s’est adapté à sa silhouette. Elle se tient en forme, elle est obligée car pour chanter, les abdominaux don importants, elle s’en fait donc cinquante par soir, cela fait partie de son exécrable routine du soir qui énerve tant ses colocataires.

CLOTHING ]
___Alors là, attention, c’est une catégorie très importante pour Darla. Elle porte à sa façon de s’habiller un soin tout particulier, elle dore faire les boutiques et se fait les ongles tous les soirs, une vraie fille quoi. Mais pour bien comprendre son style vestimentaire, le mieux serait d’en faire l’historique.

Lorsqu’elle était plus petite, Darla s’habillait exactement comme ce qu’elle voyait autour d’elle. Elle suivait à la lettre les conseils qu’elle trouvait dans les magasines de mode et s’habillait exactement comme les filles qu’elle voyait sur les photos. À cette époque, elle adorait tout ce qui brillait, ballerines dorées, grosses boucles d’oreilles plaquées or, ceintures dorées, robes en palettes dorées. C’était ce que l’on pouvait appeler sa période « shiny ».

Puis, vers l’âge de treize ans, son style changea radicalement elle était à présent dans sa période gothique. Elle se teint les cheveux en noir, ce qui ne marcha jamais totalement étant naturellement châtaine. Elle portait essentiellement du noir, parfois ponctué d’autres couleurs mais, dieu merci, elle ne mélangeait jamais les couleurs, si il y a une chose que Darla savait, même à cette époque là c’était qu’il ne fait jamais mélanger du rouge et du mauve, sinon effet plouc assuré.

Et ensuite, vint son côté punkette. Darla commença alors à retrouver des couleurs, mais plus particulièrement du rouge. Son gros fétiche à l’époque, c’était le tartan et le cuir, elle en avait différentes couleurs, différents motifs et s’arrangeait toujours pour ne pas faire de mauvais mélanges. Une chose qui lui reste et lui restera toujours de cette époque, c’est un paire de chaussure, à talons hauts faits de tartan rouge.

Puis, vînt sa période emo. Eh oui, comme tout le monde, elle est humaine. Au moins, à ce moment là, elle revînt vers le châtain comme couleur de cheveux. On aurait pu l’associer au look emo-indie, elle se mettait la frange sur le côté, portait des lunettes plus pour le style que pour toute autre raison et surtout, elle raffolait des rayures et des converses, bien qu’elle n’ai jamais acheté de vraies All Stars, elle trouvait cela beaucoup trop dispendieux pour la qualité des chaussures.

Ensuite, ce fut au tour de la mode japonaise de trouver sa place sur le corps de Darla. Parfois Lolita, parfois décora, visual kei, oshare kei, kogaru, tout ce qu’elle pouvait trouver dans les magasines qu’elle se commandait par hibou express. On pouvait dire que parfois, elle faisait peur aux gens, mais elle aimait cela, c’était original. Et puis, elle en a eu assez.

Maintenant, donc Darla garde les vestiges de toutes ces époques, en un style bien à elle, le grand et magnifique art du No-Style. Comment ça marche ? C’est simple il suffit de mélanger les styles, exemple : un t-shirt d’homme avec une pin up dessus découpé aux épaules, un slim et une ceinture cloutée par-dessus [© Hot Topic], sans oublier ses chers talons hauts à tartran, de grosses boucles d’oreille plaquées or en forme de cœur [© Juicy Couture], un collier d’immitation grande marque [© Vivienne Westwood] et un sac à mains de marque japonaise [© Pucca]. Évidement, ce n’est qu’un exemple, elle aime aussi beaucoup les manteaux victoriens que portent certains sorciers, les jupes doublées de certaines sorcières, toutes sortes de choses du moment qu’elle peut le mélanger pour créer un style entièrement à elle.

IV ] BIOGRAPHY *
PART I :: FAMILY ]
___« Enfin, franchement, Chérie, Aine*, ça sonne mieux ! »

« Tu n’as jamais eu une très grande oreille toi, hein ? Tu veux vraiment que ta pauvre fille se fasse appeler Aine toute sa vie ? »

C’est ainsi qu’après une heure et demi d’argumentation, Brigid O’Donovan, avocate de son métier gagna le procès auprès de son époux. Du moins, en partie, car aucun d’entre eux ne semblaient vouloir laisser l’autre choisir le prénom de leur futur enfant. Elle préférait Gail, lui, par contre n’était pas de cet avis, pour lui sa fille devrait soit s’appeler Aine* ou porter le nom de sa grand-mère, Rose.

« Je t’ai dis que je ne te laisserais pas, elle s’appellera Darla ! »

« Non ! C’est bien simple, c’est non ! J’ai dit Aine*, ce sera Aine* ! »

C’est ce moment là que choisit leur premier fils, Morgan, pour sortir de derrière sa B.D. en ouvrant de grands yeux humides comme à chaque fois qu’il voulait arnaquer ses parents.

« Pourquoi pas Darla ? »

Et pour une fois, un miracle s’était produit ! Les parents semblaient d’accord. Darla leur convenait à tous les deux, si bien que le jour de la naissance de l’enfant, des papiers de naissances furent écrits au nom de Darla, Aine*, Rose O’Maley.

PART II :: CHILDHOOD ]
___C'était au début mois de mai, le quatorze, plus précisément que la petite Darla montra le bout de son minuscule nez, à l'époque si rond et court. C'était à Belfast, capitale d’Irlande du nord, que sa mère donna ses dernières poussées. Déjà à cette époque, son père ne se trouvait pas présent dans la chambre d'hôpital, plusieurs pères filment impudiquement l'accouchement, d'autres vont au moins tenir la main de leur femme, mais c'aurait été sans compter la considérable carrière d'avocat de Richard O’Maley, si bien qu'à quatre heures et vingt deux minutes, l'heures précise ou le docteur coupa le cordon ombilical, monsieur Richard n'était toujours pas là. Il ne vit sa fille que de longues heures après, à la fin de sa journée de travail, sans manquer de se plaindre du service de l'hôpital et des quelques minutes de train qu'il avait du prendre pour se rendre jusque là.

Et puis, sans même que l’on ne s’en aperçoive, comme cela arrive trop souvent chez les enfants, Darla et Morgan grandirent. Tous deux s’entendaient à merveille contrairement à la plupart des frères et sœurs de ce monde et pour une raison bien particulière, ce n’était sûrement pas leurs parents qui allaient recoller les morceaux si jamais quelque chose allait mal, ils apprirent donc à s’entraider et à partager dès leur plus jeune âge.

Pourtant, leurs parents n’étaient pas si mauvais que ça, ils étaient tout simplement un peu space, bien qu’il leur arrivait très souvent de tomber en désaccord, ils arrivaient quand même très bien à rester ensemble, à les voir on pourrait bien dire que les contraires s’attirent. Si Richard O’Maley était un homme sérieux et ordonné, Brigid O’Donovan en était le parfait contraire, c’était une passionnée de Quidditch qui ne semblait pas avoir d’ambition particulière, au contraire de son époux.

Ils s’étaient rencontrés à Poudlard, mais malgré tout, ils ne s’étaient jamais ne serai-ce qu’aperçus avant leur septième année. Il était à Serdaigle, travailleur, évidement, mais il n’en avait pas besoin, il était très intelligente et, malgré qu’il eut été de sang mêlé, était un bien meilleure sorcier que beaucoup de sang pur… comme Brigid. Elle-même était issue d’une des plus grandes grande familles d’Irlande, sorciers de générations en générations. Malheureusement pour elle, elle n’était pas une excellente élève et passait le plus clair de son temps à jouer au Quidditch plutôt que de travailler. C’est cela qui les rapprocha, une semaine avant leurs ASPIC, un jour, à la bibliothèque de l’école, ils s’étaient littéralement rentrés dedans, une scène bien classique, comme dans les films avec un petit peu de vent et des mouvements au ralenti, rencontre fortunée puisque c’est grâce à ce petit incident que Brigid réussit à passer ses examens sans pour autant avoir jamais travaillé.

___Un jour de printemps, les deux enfants revenaient à la maison après avoir passé pratiquement toute leur journée au port, à observer les bateaux et à jouer comme le font tous les enfants de cet âge. En poursuivant son frère sur le quai, Darla avait glissé sur une algue et était tombé la tête la première dans l’eau glacée, elle était trempée jusqu’au os, mais la mère enjouée qui les attendait à la maison n’en remarqua rien. Elle les fit s’asseoir dans les fauteuils de cuir beige du salon et leur récita une phrase qu’elle semblait avoir apprit par cœur et répété pendant un petit moment.

« Les enfants, ce que je vais dire va peut-être vous sembler étrange sur le moment… »

« T’est enceinte ? »

Comme d’habitude, Morgan avait encore une fois interrompu sa mère et comme toujours, il avait raison. C’est l’expression sur le visage de leur mère qui le leur confirma.

« On va avoir un petit frère alors ? » Demanda Darla toute heureuse de la nouvelle.

« Ou une petite sœur, je n’ai pas encore demandé au Médicomage, je voulais garder la surprise… »

Une fois encore, les cris de joie de ses enfants interrompirent la mère de famille qui du se voir contrainte d’interrompre la conversation alors que ses enfants, sans plus penser au petit plongeon de Darla, commençaient à courir en rond autour de la table de verre.

___Les neufs mois qui suivirent n’eurent pas énormément d’intérêt dans la vie des deux enfants, l’activité principale qui se déroulait dans la maison consistait à des réunions de familles et des showers tous plus froufrouteux les uns que les autres. De plus, une nouvelle difficulté se présentait à eux : comprendre leur mère qui devenait encore plus étrange qu’auparavant, car déjà pouvait-elle être spéciale avant sa grossesse, ce n’était rien comparé à ses crises de nerfs alors qu’elle leur demandait des cornichons au chocolat.

Ainsi donc, le vingt neuf février de la même année, un petit garçon du nom de Bran O’Maley vit le jour à l’Hôpital St Alastar pour les maladie et blessures magiques. Il s’agissait donc d’une année bissextile, ainsi donc, bien qu’il ai en apparence treize ans de nos jours, elle est en vérité âgée de près de quatre ans.

___Mais c’est quand elle eut onze ans qu’une lettre vint briser la routine, c’est étonnant ce qu’une simple lettre peut avoir comme importance dans notre vie, elle peut la détruire ou la rallumer un instant, celle-ci n’y faisait pas exception.

Pour les vacances d’été, toute la famille,se trouvait dans la cour arrière, près du garage, tous occupés à manger sur une grande table en plastique blanc accompagnée de chaises assorties.

« Darla, y’a un Hibou pour toi »

Et comme d’habitude, Morgan avait dit cela sans même quitter le beurre des yeux et effectivement, il avait raison. Le hibou mordoré se posa directement sur la table, faisant virevolter au passage le sel et un morceau de poulet. Tout excitée, Darla arracha presque la lettre de la patte de l’animal qui lui lança un regard courroucé avant de partir à tire d’ailes.

Miss. D. O’Maley
Dans la cour arrière
27, Chestnut Road
Belfast
North Ireland

Collège Poudlard, école de Sorcellerie.
Directeur : Albus Dumbledore
Comandeur du Grand-Ordre de Merlin
Docteur ès Sorcellerie, Enchanteur-en-chef, Manitou suprême de la Confédération internationale des Mages et Sorciers.

Chère Miss. O’Maley,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au Collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, chère Miss. O’Maley, en l'expression de nos sentiments distingués.
Minerva McGonagall
Directrice adjointe

« Maman, faut qu’on leur envoie un hibou ! »

« Je ferai ça après dîner, Chérie, maintenant mange ton poulet, il va refroidir ! »

III ] PHYSIQUE *
PHYSIQUE ]
___Selon Darla, son physique n’a absolument rien d’exceptionnel. Non, ce n’est pas de la fausse modestie, elle est tout simplement comme la plupart des filles de ce monde incapable de reconnaître ses qualités et ne voit que ses défauts, rien d’autre.

Par exemple, elle déteste ses pieds, c’est selon elle ce qu’elle a de plus horrible, à vrai dire, Darla a ce qu’on appelle le pied égyptien, c’est-à-dire un gros orteil géant et les autres orteils qui deviennent de plus en plus petit, à partir de leur copain géant jusqu’à l’autre bout.

Ses cheveux sont tout bêtement châtains, mais ça elle ne s’en plaint pas, elle les a déjà teint suffisamment de fois dans sa vie pour y repenser deux fois avant de tenter l’expérience. En revanche, ils sont ébouriffés au possible, c’est qu’elle n’aime pas beaucoup s’en occuper, la plus part du temps, elle les laisse longs et ne les brosse que avant et après les avoir lavés.

Ses yeux, elle les tient de son père, des yeux pers bleus. Le moins qu’on puisse dire sur ceux-ci, c’est qu’ils sont capricieux, changeants. Les jours de pluie ou de brouillard, les jours que l’on observe le plus souvent dans la campagne anglaise, ils s’accordent au temps environnant sur un bleu grisâtre, alors qu’en plein soleil, ils prennent une teinte plus verdâtre, claire et étincelante sans perdre leur bleu naturel. Il ne s’agit pas, en revanche d’un bleu uniforme, on peut remarquer un cercle gris foncé autour de ses yeux, puis quelques petites lignes et points plus foncés, ou verdâtres selon le moment.

Son visage est, comme sa silhouette, très féminin. Il est allongé et son menton forme une petite pointe, enfant, cela lui donnait un physique horrible d’enfant trop vite grandi, mais maintenant son visage s’est adapté à sa silhouette. Elle se tient en forme, elle est obligée car pour chanter, les abdominaux don importants, elle s’en fait donc cinquante par soir, cela fait partie de son exécrable routine du soir qui énerve tant ses colocataires.

CLOTHING ]
___Alors là, attention, c’est une catégorie très importante pour Darla. Elle porte à sa façon de s’habiller un soin tout particulier, elle dore faire les boutiques et se fait les ongles tous les soirs, une vraie fille quoi. Mais pour bien comprendre son style vestimentaire, le mieux serait d’en faire l’historique.

Lorsqu’elle était plus petite, Darla s’habillait exactement comme ce qu’elle voyait autour d’elle. Elle suivait à la lettre les conseils qu’elle trouvait dans les magasines de mode et s’habillait exactement comme les filles qu’elle voyait sur les photos. À cette époque, elle adorait tout ce qui brillait, ballerines dorées, grosses boucles d’oreilles plaquées or, ceintures dorées, robes en palettes dorées. C’était ce que l’on pouvait appeler sa période « shiny ».

Puis, vers l’âge de treize ans, son style changea radicalement elle était à présent dans sa période gothique. Elle se teint les cheveux en noir, ce qui ne marcha jamais totalement étant naturellement châtaine. Elle portait essentiellement du noir, parfois ponctué d’autres couleurs mais, dieu merci, elle ne mélangeait jamais les couleurs, si il y a une chose que Darla savait, même à cette époque là c’était qu’il ne fait jamais mélanger du rouge et du mauve, sinon effet plouc assuré.

Et ensuite, vint son côté punkette. Darla commença alors à retrouver des couleurs, mais plus particulièrement du rouge. Son gros fétiche à l’époque, c’était le tartan et le cuir, elle en avait différentes couleurs, différents motifs et s’arrangeait toujours pour ne pas faire de mauvais mélanges. Une chose qui lui reste et lui restera toujours de cette époque, c’est un paire de chaussure, à talons hauts faits de tartan rouge.

Puis, vînt sa période emo. Eh oui, comme tout le monde, elle est humaine. Au moins, à ce moment là, elle revînt vers le châtain comme couleur de cheveux. On aurait pu l’associer au look emo-indie, elle se mettait la frange sur le côté, portait des lunettes plus pour le style que pour toute autre raison et surtout, elle raffolait des rayures et des converses, bien qu’elle n’ai jamais acheté de vraies All Stars, elle trouvait cela beaucoup trop dispendieux pour la qualité des chaussures.

Ensuite, ce fut au tour de la mode japonaise de trouver sa place sur le corps de Darla. Parfois Lolita, parfois décora, visual kei, oshare kei, kogaru, tout ce qu’elle pouvait trouver dans les magasines qu’elle se commandait par hibou express. On pouvait dire que parfois, elle faisait peur aux gens, mais elle aimait cela, c’était original. Et puis, elle en a eu assez.

Maintenant, donc Darla garde les vestiges de toutes ces époques, en un style bien à elle, le grand et magnifique art du No-Style. Comment ça marche ? C’est simple il suffit de mélanger les styles, exemple : un t-shirt d’homme avec une pin up dessus découpé aux épaules, un slim et une ceinture cloutée par-dessus [© Hot Topic], sans oublier ses chers talons hauts à tartran, de grosses boucles d’oreille plaquées or en forme de cœur [© Juicy Couture], un collier d’immitation grande marque [© Vivienne Westwood] et un sac à mains de marque japonaise [© Pucca]. Évidement, ce n’est qu’un exemple, elle aime aussi beaucoup les manteaux victoriens que portent certains sorciers, les jupes doublées de certaines sorcières, toutes sortes de choses du moment qu’elle peut le mélanger pour créer un style entièrement à elle.

IV ] BIOGRAPHY *
PART I :: FAMILY ]
___« Enfin, franchement, Chérie, Aine*, ça sonne mieux ! »

« Tu n’as jamais eu une très grande oreille toi, hein ? Tu veux vraiment que ta pauvre fille se fasse appeler Aine toute sa vie ? »

C’est ainsi qu’après une heure et demi d’argumentation, Brigid O’Donovan, avocate de son métier gagna le procès auprès de son époux. Du moins, en partie, car aucun d’entre eux ne semblait vouloir laisser l’autre choisir le prénom de leur futur enfant. Elle préférait Gail, lui, par contre n’était pas de cet avis, pour lui sa fille devrait soit s’appeler Aine* ou porter le nom de sa grand-mère, Rose.

« Je t’ai dis que je ne te laisserais pas, elle s’appellera Darla ! »

« Non ! C’est bien simple, c’est non ! J’ai dit Aine*, ce sera Aine* ! »

C’est ce moment là que choisit leur premier fils, Morgan, pour sortir de derrière sa BD en ouvrant de grands yeux humides comme à chaque fois qu’il voulait arnaquer ses parents.

« Pourquoi pas Darla ? »

Et pour une fois, un miracle s’était produit ! Les parents semblaient d’accord. Darla leur convenait à tous les deux, si bien que le jour de la naissance de l’enfant, des papiers de naissances furent écrits au nom de Darla, Aine*, Rose O’Maley.

PART II :: CHILDHOOD ]
___C'était au début mois de mai, le quatorze, plus précisément que la petite Darla montra le bout de son minuscule nez, à l'époque si rond et court. C'était à Belfast, capitale d’Irlande du nord, que sa mère donna ses dernières poussées. Déjà à cette époque, son père ne se trouvait pas présent dans la chambre d'hôpital, plusieurs pères filment impudiquement l'accouchement, d'autres vont au moins tenir la main de leur femme, mais c'aurait été sans compter la considérable carrière d'avocat de Richard O’Maley, si bien qu'à quatre heures et vingt deux minutes, l'heures précise ou le docteur coupa le cordon ombilical, monsieur Richard n'était toujours pas là. Il ne vit sa fille que de longues heures après, à la fin de sa journée de travail, sans manquer de se plaindre du service de l'hôpital et des quelques minutes de train qu'il avait du prendre pour se rendre jusque là.

Et puis, sans même que l’on ne s’en aperçoive, comme cela arrive trop souvent chez les enfants, Darla et Morgan grandirent. Tous deux s’entendaient à merveille contrairement à la plupart des frères et sœurs de ce monde et pour une raison bien particulière, ce n’était sûrement pas leurs parents qui allaient recoller les morceaux si jamais quelque chose allait mal, ils apprirent donc à s’entraider et à partager dès leur plus jeune âge.

Pourtant, leurs parents n’étaient pas si mauvais que ça, ils étaient tout simplement un peu space, bien qu’il leur arrivait très souvent de tomber en désaccord, ils arrivaient quand même très bien à rester ensemble, à les voir on pourrait bien dire que les contraires s’attirent. Si Richard O’Maley était un homme sérieux et ordonné, Brigid O’Donovan en était le parfait contraire, c’était une passionnée de Quidditch qui ne semblait pas avoir d’ambition particulière, au contraire de son époux.

Ils s’étaient rencontrés à Poudlard, mais malgré tout, ils ne s’étaient jamais ne serai-ce qu’aperçus avant leur septième année. Il était à Serdaigle, travailleur, évidement, mais il n’en avait pas besoin, il était très intelligent et, malgré qu’il eut été de sang mêlé, était un bien meilleur sorcier que beaucoup de sang pur… comme Brigid. Elle-même était issue d’une des plus grandes familles d’Irlande, sorciers de générations en générations. Malheureusement pour elle, elle n’était pas une excellente élève et passait le plus clair de son temps à jouer au Quidditch plutôt que de travailler. C’est cela qui les rapprocha, une semaine avant leurs ASPIC, un jour, à la bibliothèque de l’école, ils s’étaient littéralement rentrés dedans, une scène bien classique, comme dans les films avec un petit peu de vent et des mouvements au ralenti, rencontre fortunée puisque c’est grâce à ce petit incident que Brigid réussit à passer ses examens sans pour autant avoir jamais travaillé.

___Un jour de printemps, les deux enfants revenaient à la maison après avoir passé pratiquement toute leur journée au port, à observer les bateaux et à jouer comme le font tous les enfants de cet âge. En poursuivant son frère sur le quai, Darla avait glissé sur une algue et était tombé la tête la première dans l’eau glacée, elle était trempée jusqu’au os, mais la mère enjouée qui les attendait à la maison n’en remarqua rien. Elle les fit s’asseoir dans les fauteuils de cuir beige du salon et leur récita une phrase qu’elle semblait avoir apprit par cœur et répété pendant un petit moment.

« Les enfants, ce que je vais dire va peut-être vous sembler étrange sur le moment… »

« T’est enceinte ? »

Comme d’habitude, Morgan avait encore une fois interrompu sa mère et comme toujours, il avait raison. C’est l’expression sur le visage de leur mère qui le leur confirma.

« On va avoir un petit frère alors ? » Demanda Darla toute heureuse de la nouvelle.

« Ou une petite sœur, je n’ai pas encore demandé au Médicomage, je voulais garder la surprise… »

Une fois encore, les cris de joie de ses enfants interrompirent la mère de famille qui du se voir contrainte d’interrompre la conversation alors que ses enfants, sans plus penser au petit plongeon de Darla, commençaient à courir en rond autour de la table de verre.

___Les neufs mois qui suivirent n’eurent pas énormément d’intérêt dans la vie des deux enfants, l’activité principale qui se déroulait dans la maison consistait à des réunions de familles et des showers tous plus froufrouteux les uns que les autres. De plus, une nouvelle difficulté se présentait à eux : comprendre leur mère qui devenait encore plus étrange qu’auparavant, car déjà pouvait-elle être spéciale avant sa grossesse, ce n’était rien comparé à ses crises de nerfs alors qu’elle leur demandait des cornichons au chocolat.

Ainsi donc, le vingt neuf février de la même année, un petit garçon du nom de Bran O’Maley vit le jour à l’Hôpital St Alastar pour les maladie et blessures magiques. Il s’agissait d’une année bissextile, ainsi donc, bien qu’il ai en apparence treize ans de nos jours, il est en vérité âgée de près de quatre ans.

___Mais c’est quand elle eut onze ans qu’une lettre vint briser la routine, c’est étonnant ce qu’une simple lettre peut avoir comme importance dans notre vie, elle peut la détruire ou la rallumer un instant, celle-ci n’y faisait pas exception.

Pour les vacances d’été, toute la famille se trouvait dans la cour arrière, près du garage, tous occupés à manger sur une grande table en plastique blanc accompagnée de chaises assorties.

« Darla, y’a un Hibou pour toi »

Et comme d’habitude, Morgan avait dit cela sans même quitter le beurre des yeux et effectivement, il avait raison. Le hibou mordoré se posa directement sur la table, faisant virevolter au passage le sel et un morceau de poulet. Tout excitée, Darla arracha presque la lettre de la patte de l’animal qui lui lança un regard courroucé avant de partir à tire d’ailes.

Miss. D. O’Maley
Dans la cour arrière
27, Chestnut Road
Belfast
North Ireland

Collège Poudlard, école de Sorcellerie.
Directeur : Tiberieus Ogden
Grand-Ordre de Merlin première classe
Docteur ès Sorcellerie, Enchanteur-en-chef.

Chère Miss. O’Maley,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au Collège Poudlard. Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, chère Miss. O’Maley, en l'expression de nos sentiments distingués.
Kiera Shade
Directrice adjointe

« Maman, faut qu’on leur envoie un hibou ! »

« Je ferai ça après dîner, Chérie, maintenant mange ton poulet, il va refroidir ! »

Excusez moi de… humm… quadruple poster, mais je voulais prévenir que ma fiche est terminée. Bonne chance pour la lire !

Super geanteuh ficheuh ^^ Bien écrit

Je pencherais pour Gryffondor, mais une chose à réctifier c'est Ici le directeur est Tiberius est non Albus ^^

Va voir les Poste vacants ^^ nom du directeur adjoint et du directeur

Oui, bon j'étais assez inspirée ! Je vais éditer ça et en profiter pour corriger les fautes que j'ai vu !

okay j'attend ta prochaine réponse et je te valide ^^

Heum, juste une question, qui est l'adjoint ? Je n'arrive pas à trouver.

A priori la directrice des gryffy mais tu peux mettre ta directrice c'est a dire celle des gryffy sa suffira amplement ^^

Et voilà, c'est fait ! Oh, j'ai oublié de dire qu'elle a une cicatrice sur le coude droit depuis qu'elle s'est fait rentrer dedans par un autobus, tu crois que c'est grave ?

Mais oui ^^

je te valide ^^

Merci !