Maessar [ TERMINEE ]

I. Identité Général.

Nom, Prénom: Maessar Marilyn
Age, Date de Naissance: 15 ans, 25 Août 1992.
Sexe: Féminin.
Année à Poudlard: 5 ème.
Origine [Aisé, Pauvre, Moyen] // Ascendance [Pur, Mêlé, Moldu] // Nationalité:

Marilyn est issue d’une origine moyenne, pour elle c’était parfait. Ainsi elle ne pouvait pas tomber dans les méfaits de l’argent, se croire supérieur aux autres et devenir une de ses espèces de poupée mannequin qui se ressemble toute. Maigre, lèvre pulpeuse, teint parfaitement halé, grands yeux en amande, ensuite il suffit d’avoir un visage plutôt potable à retoucher avec une tonne de maquillage et le must du must, le plus important, la cerise sur le gâteau, être « ouverte »… Une fille facile en plus clair. Quel est le rapport avec l’argent me direz-vous, eh bien le rapport c’est que les filles comme ça sont des riches, elles peuvent se payer le luxe, et des filles comme ça, c’est du luxe !
Elle est une sang mêlé, elle ne la jamais renié, et ne le reniera jamais ! Elle aime sa situation et se fou des critiques de ses espèces de prétentieux de sang pur. Quand elle les entend parler en mal sur les moldus, les enfants sorciers nés de parents moldus et des sang-mêlé, cela la met dans une rage folle. On pourrait dire qu’elle pète les plombs. Après tout, ce n’est pas la faute des enfants, alors pourquoi les blâmer ! Et l’union sorcier moldus et si romantique, si belle aux yeux de Marilyn, c’est si… Magique ! Une grande sensible cette petite !
Elle est de nationalité Anglaise.

II. Caractère.

Caractère: Marilyn pourrait être qualifier d’enfant parfaite, modèle. Bonne à l’école, à l’écoute, enjouée. Mais en réalité c’est une vrai petite emmerdeuse, parfois antipathique, elle se mêle de tout, une vraie fouine. Mais elle préfère montrer cette parti de sa personnalité seulement lorsqu’elle est en famille. Son côté emmerdeur, elle le tient sans doute de son frère, il a déteint sur elle ! Etant petite, elle était le souffre douleur de son frère devant être le cobaye de ses expériences loufoque, lorsque l’époque des premiers copains arriva, il était pire que son propre père, à fouiner dans ses affaires à répondre en premier au téléphone, à l’espionner, lui poser des questions indiscrètes, le père de Marilyn n’était pas loin derrière. Voilà d’où venez son côté fouine. Mais Marilyn savait bien lui rendre l’appareil, pendant les vacances scolaires, quand ses petites amies téléphonaient à la maison Marilyn décrochait et racontait, en quelque sorte, sa vie et des passages plutôt humiliant de son frère. Sa le mettait dans une colère folle, mais elle aimait bien l’emmerder ! Et quand Marilyn n’arrivait pas à décrocher avant lui, elle mettait la radio à fond en hurlant les paroles à côté de lui, elle se roulait par terre sautait sur le canapé en hurlant, il n’avait pas d’autre choix de raccrocher et la jeune fille était satisfaite !
Mais le plus mystérieux chez elle, c’est qu’en dehors de chez elle, Marilyn était tellement différente, affectueuse, gentille, à l’écoute, plutôt discrète.
Elle est passionnée, quand elle aime, elle aime à la folie, elle ne fait pas les choses à moitié. Romantique accomplie elle a toujours aimé les vieux films à l’eau de rose.
Aime, Passions, Hobbies: Marilyn na pas tellement de passion. Son hobby, sans doute le quidditch, elle aime y jouer avec ses cousins, elle fait la batteuse, au début ils faisaient exprès de la désarçonner de son balai en lui lançant des cognards. Quand elle tombait, elle pestait après eux et son père venait voir si elle n’avait rien, quel papa gâteau ! Cela les faisait bien rire ! Elle, moins. Si elle avait pu elle leurs aurait enfoncé sa baguette dans leur trou du nez jusqu’à qu’il la supplie d’arrêter. Si seulement elle avait pu… Mais du côté de sa mère, elle était la plus jeune avec Gabin. Elle l’aimait son Gabin. (Ben oui, vous lui demandez ce qu’elle aime) Et son Gabin elle l’aime beaucoup, elle a toujours était proche de lui, sans doute parce qu’il avait le même m’age qu’elle. Et pourtant il y avait aussi Gaël qui avait seulement un an de plus, mais non, ça ne passait pas entre eux…
Marilyn est passionnée par les histoires d’amours. De n’importe quel genre, que se soient les histoires d’amours des peoples, les histoires d’amours dans les livres, films, ou même les histoires d’amour de ses amies. C’est bien de pouvoir être digne de confiance et à l’écoute, on sait tout et en plus on peut écouter des histoires plutôt intéressantes, car les acteurs sont bien réels.
Son pêché mignon, la crème glacé ! Pas la banal glace que l’on trouve dans n’importe qu’elle hypermarché, la crème glacé de Mr Wong. Le petit vendeur chinois qui se trouvaient en bas de la maison de Gabin. Souvent elle y allait sans prévenir personne, après tout, elle aurait pu passer voir sa tante ou même Gabin, mais non, elle voulait juste sa crème glacé. Un jour elle voulut lui montrer comment se servir des hiboux pour qu’il lui livre de la glace à domicile, mais cette idée fût vite abandonnée ! Sa mère l’engueula pendant plusieurs jours ! « J’hallucine ! Tu es si gourmande ! Si gourmande ! Espèce d’idiote va ! »
Le courant n’était jamais passé entre sa mère et elle ! D’ailleurs le courant n’est jamais passé entre ses deux enfants et elle.
N’aime pas, Phobies: Phobies… Marilyn n’en a pas particulièrement, elle a peur d’un tas de petite chose comme toute les filles de son age, quand elle voit une petite araignée elle hurle alors qu’elle sait très bien qu’elle ne lui fera absolument rien ! Bien qu’elle n’est jamais vu de serpent elle dit que ça lui fait peur, alors qu’au fond d’elle-même elle est sure qu’elle va le trouver fascinant ! Mais si elle est avec une troupe de filles, pour se fondre dans la masse, elle va faire comme si elle trouvait sa répugnant et qu’elle en avait peur. Pour faire son intéressante ! Pour montrer qu’elle est comme les autres, bien sure si on lui demande de toucher elle va dire non et si on insiste un peu elle va faire genre prendre son courage à deux mains et toucher. Il y a bien entendu des limites, et les filles qui dépassent ses limites, elle ne les aime pas. Si elle pouvait les faire trébucher à chaque fois qu’elles font leurs malignes ! Leurs rajouter quelques boutons sur le nez ! Leurs jeter un seau d’eau, juste pour avoir le plaisir de voir leurs tonnes de maquillages dégouliner le long de leurs visages. Qu’elles se tapent la honte en faite ! Mais malheureusement, les filles comme ça sont une majorités chez les adolescentes de 15 ans. A l’inverse, elle n’aime pas les « rats de bibliothèque ». Le genre de fille avec des notes hyper bonne, mais qui n’ont aucune vie sociale. Marilyn était la preuve vivante que l’on pouvait concilier vie sociale et étude ! Il faut le juste milieu pour la demoiselle !

III. Physique.

Physique: Marilyn… La Belle Marilyn a des cheveux noirs qu’elle s’amuse à teindre selon ses envies. Ils sont parfaitement lisse, enfin parfaitement, façon de parler, elle a un épis sur le côté droit de sa frange, jamais au grand jamais nous avons vu cette fichu frange lisse, totalement lisse ! Toujours ce fichu épi arrondi sur la dernière mèche de sa frange du côté droit. L’année de ses treize ans, sur un coup de tête Marilyn coup cette mèche, ce fut pire, car d’abord elle se fut engueuler par sa mère et il y avait un écart pas croyable entre le côté droit et le côté gauche ! AFFREUX ! Le coiffeur égalisa le tout et grâce à un petit sortilèges de sa maman chérie, tout redevint comme avant, exactement tout, c'est-à-dire l’épis avec ! Depuis elle préfère mettre une petite barrette qui coince toute sa frange sur le côté droit laissant son front à nu.
Ces yeux. Ils sont d’un bleu gris particulièrement beau ! Mais elle, elle voulait avoir des yeux foncés pour qu’ils s’accordent parfaitement avec ses cheveux ! C’est toujours comme ça, lorsque l’on a des yeux clairs on en veut des foncés et inversement ! Elle a essayé les lentilles mais elle a subit les railleries de son grand frère, elle les a donc tout de suite enlevé ! Elle dut rester comme ça !
Elle a teint clair, rosé au niveau de ses pommettes, elle ne cherche jamais à bronzée ou même à roser, la crainte des coups de soleil avec sa peau fragile ! Elle en prends grand soin se passant une crème hydratante matin et soir. Le week-end elle passe un masque histoire de la nettoyer un peu.
Elle est plutôt petite pour son age, elle est maigre, voir très maigre. Certains la traite d’anorexique, elle est envoie voir ailleurs, elle n’est pas anorexique, juste maigre. Le shopping est un calvaire pour elle, autant que les personnes de fortes corpulences, quoi que eux, ils ont des magasins spécialisé mais les trop maigre pour leurs tailles ! Ils n’en n’ont pas ! Ils se démerdent les petits maigres !
Style vestimentaire: Son style est varié, elle n’est jamais totalement dans un style, ni vraiment « fashion », ni vraiment « emo », ni vraiment « bobo », ni vraiment « hippie ». NO STYLE pour la demoiselle ! Bien entendu, vu sa maigreur, les slims et les hauts moulants lui vont à merveille ! Enfin ça dépend lesquels, ceux où ils font avoir une belle poitrine pour faire un magnifique décolleté, à oublier ! Donc elle préfère opter pour les tee-shirts larges pour masquer le peu de poitrine qu’elle a pour son age. Mais pas des haut large, genre les vieux tee-shirt de papa !

V. Autres.

2 OptionS choisi en 3ème année: Divination, Vieille Magie.
[Pour les 7èmes année, voir 6ème si 17ans] Avez vous le permis?//
Affiliation: Neutre.
Baguette, Description + obtention: 29.7 cm, bois de saule, souple maniable et douce au touché, chez Ollivander.

IV. Biographie.

Enfance, école et apparition du pouvoir: 25 Août 1992. La famille Maessar s’agrandi d’une petite fille. Cette même année un petit De Sereys venait de naître. Les deux sœurs sont ravies, elles espèrent que leurs enfants vont être unis et complices. Leurs vœux furent exaucés. Dès leurs enfances, Gabin et Marilyn manifestaient une complicité particulière. Ils furent élevés comme des frères. Oui comme des frères, Gabin la considérait comme un petit garçon ! Il la traînait partout en hurlant « Mari vite vite vient ! » et elle, elle le suivait. Marilyn se souvient de leur plus grosse bêtise, c’était un dimanche, lors d’une fête de famille. Bien entendu ils avaient passé leur plus clair de leur temps à traîner dans la cuisine pour avoir les restes. Gabin eut une idée… Maléfique et pourtant si drôle !
Pour l’occasion, les parents avaient mis des pieds en forment de triangle qui se calaient avec un petit truc qui clip et disposé dessus des planches de bois recouvert d’une nappe. Les deux complices attendirent que les adultes disposent toutes les assiettes, tous les plats et apéritifs préparés dans la matinée ! Quand ce fut fait, ils le glissèrent discrètement sous la table et défirent tous les clips. C’était en équilibre. Il fallut que le père de Marilyn dépose un petit plat de cacahuète et les tables tombèrent dans un fracas délirant. Gabin et Marilyn se retinrent de rire et firent des mines choquées. Eh Eh, maléfique. Heureusement, tout fut réparé vite grâce à la magie, ils étaient fiers d’eux. Et pourtant, c’était si méchant !
Les pouvoirs de Marilyn se manifestèrent assez rapidement. Passionné d’histoire d’amour depuis son jeune age, elle piqua le livre de son frère et commença à le lire croyant à une histoire romantique ! Mais non ! C’était un simple livre de magie. Elle regarda une formule, elle aimait le nom de cette formule. « Petrificus Totalus ». Rigolo ! Elle continuait à feuilleter le bouquin, assise sur le lit de son frère. Elle trouva sa baguette, elle posa le bouquin et fit tourner le bout de bois entre ses doigts, elle ne se souvient plus exactement de l’age qu’elle avait à cette époque. Sept, huit ans. Elle fit semblant de jeter des sorts autour d’elle terrassant tous ses adversaires. Son frère fit éruption dans sa chambre en hurlant sur ça sœur, elle prit peur et hurlant la formule qu’elle avait retenu quelques instant auparavant en pointant la baguette de son frère sur lui-même. Il tomba. Tout raide. Marilyn hurla, elle hurla le plus fort qu’elle pouvait ne sachant pas quoi dire, ses parents montèrent et se ne furent pas un regard décevant qu’ils jetèrent sur Marilyn mais un regard heureux, ils le regardèrent. Son père la serra dans ses bras tellement fort que Marilyn devint toute rouge à cause du manque d’air. Sa mère l’embrassa et elle lança une formule pour que son frère bouge enfin. Elle venait de comprendre. Elle allait aller à Poudlard…
L’école, elle l’aimait son école, surtout sa bibliothèque. Lire et relire ces histoires d’amours, les savoir par cœur ! Elle était bonne élève, mais bizarrement, elle n’avait pas besoin d‘étudier, comme si elle l’avait toujours su. Ses parents la poussaient à étudier, si elle avait étudié un minimum, elle aurait pu être une excellente élève, la première. Mais son statut d’élève moyenne lui suffisait. Pendant les cours elle préférer, cacher derrière ses bouquins de maths, français, d’histoire ou autre ses livres d’amours. Quand son professeur s’en rendit compte, il ne dit rien et lui prit juste son livre. Mais à il la déplaça au premier rang et il lui répété inlassablement « Baisse ton livre Marilyn ! Laisse le à plat ! ». Elle aurait préféré qu’il lui mette un mot !
Entré à Poudlard, niveau scolaire et autres: « Merde alors. » C’était les seuls mots qu’elle avait pu prononcer en voyant le majestueux château. Elle était à 100 lieus d’imaginer un endroit tels ! Elle ne savait plus quoi faire. Gabin à ses côtés, lui, il n’avait pu rien dire. Jusqu’à l’arrivé dans le grand hall, aucun mots, ou même sons ne sorti de sa bouche ! Le directeur adjoint nous amena dans ce qu’ils appelaient « la Grande Salle ». Gabin murmura un léger « Ouah ». Ils appelèrent les élèves par ordre alphabétique. Maessar. Elle allait être vers le milieu.
Elle n’avait pas de jugement sur les différentes maisons. Chaque maison avait ses qualités et ses défauts. Elle n’écoutait pas les répartitions. Ce qu’elle voulait, dormir. Elle n’avait pas réfléchi au fait de quitter ses parents. Le départ fut brutal ! Pour elle. Son frère se moquait d’elle, elle aurait voulut le frapper, le frapper de toutes ses forces. Mais justement, elle n’en avait plus, de force. Elle voyait défiler les élèves et la masses des premières années se dissipa, chacun partant de leurs côtés, à la table de leurs maisons nommés. C’était long. Très long au goût de Marilyn. Que pouvait-elle faire à part attendre et essayer de prêter attention à ce qui se passe autour d’elle !

-Directeur adjoint- « Marilyn Maessar ! »

-Marilyn- « … »

-Directeur adjoint- « Marilyn Maessar ! »

Elle sentit un coude rentrer entre ses côtes. C’était Gabin, il était assis à la table des serdaigles. Elle c’était mis à côté de lui pour se sentir moins seule. Elle lui jeta un regard noir et s’apprêta à l’engueuler, mais elle vit tous les regards tournés vers elle. Et elle comprit, elle baissa la tête et à grand enjambé, elle s’assit à la hâte sur le tabouret à trois pieds, elle sentit le choixpeau s’enfoncer dans sa tête. Elle le sentit remuer. Son cœur battait. Elle voulait que ça se termine, vite. Elle en avait marre que les regards soit rivé sur elle. Il fallait que ça s’arrête. Maintenant.

-Choixpeau- « POUFSOUFFLE !»

Depuis ce moment là, jusqu’au lendemain matin, elle ne se souvenait de rien.
Les années à Poudlard furent sans doute les plus belles. Entre amis et déconne. Bien sure il y avait les cours, c’était moins bien mais quand on a des amis formidables, ça passait. Elle restait souvent avec Gabin bien entendu, mais ils c’étaient un peu « décollés ».
La chose qui fut sans doute la plus troublante dans sa scolarité fut, la découverte du « pouvoir » du frère de Gabin. Gaël, celui qu’elle trouvait étrange et dont elle se méfiait.
Il y avait une tradition chez les femmes Maessar. Elles doivent se couper les cheveux les soirs de pleine lune, et seulement les soirs de pleine lune (vieille superstition qui disent que les cheveux poussent plus vite et qu’ils sont plus beau en les coupant à la pleine lune !). Donc Ce fut lors de sa troisième qu’elle eut des doutes. Elle se souvint avoir croiser son cousin dans le couloir, comme d’habitude, ils firent mine de na pas se connaître. Néanmoins, elle remarqua sa mine fatiguée. Le lendemain, elle le regarda attentivement lors du repas et vit que Gaël avait plusieurs marques sur les poignées, des griffures un peu partout, et des plaies plus rare, mais profonde. A la fin du repas, elle courut vers lui se faufilant dans la file des élèves presser de retourner dehors. Elle l’attrapa par le bras, il retourna vers lui sa mine déconfite. Elle le regarda et ne sut quoi dire, elle ouvrit la bouche et la referma à plusieurs reprises. Il jeta sur elle un regard du genre « ta l’air débile là ». Puis il partit. Pourquoi n’avait-elle pu rien dire ?
Des jours passèrent et chaque soir de pleine lune, le lendemain elle remarquait les mêmes blessures sur les corps de son cousin. Elle en était sure, elle décida donc, au cours de sa quatrième année de faire un tour à la bibliothèque voir si ça pouvait être autre chose. Mais non, c’était ça elle en était sure. Elle se souvient avoir enfouit son visage dans ses mains, et le visage de Maëva revint alors. Non c’était impossible. Maëva était une cousine à elle, la jumelle de Gaël, elle était morte d’une manière mystérieuse d’après ses parents. Ils n’avaient voulut en dire plus. Non impossible…
Elle n’avait répété à personne ce qu’elle savait, après tout il était de sa famille et avancer de telle accusation, sur son cousin c’était parfaitement inconcevable pour Marilyn. Elle n’avait pas eu le courage de « l’affronter » !
Famille: Marilyn a un père, d’origine moldu. Elle c’est toujours merveilleusement bien entendu avec lui, elle l’aime de tout son cœur, ils sont complices, bien que parfois il lui tape sur les nerfs en voulant tout savoir de sa vie, mais elle le comprenait, patient, quand elle voulait parler, il était là. Elle rêve d’avoir la même complicité avec sa fille ou son fils plus tard ! Elle l’aimait son papa chéri chou d’amour ! Avec sa mère, c’était différent, elle a toujours était trop strict, demandant à ses enfants une éducation parfaite, des notes parfaites, une chambre parfaite… C’est sans doute pour ça que Marilyn n’est pas très ordonnée, histoire d’emmerder sa mère ! Après tout elle n’avait que ça à faire, pas de télévision après 20 heures, pas de grignotage après 17 heures. Avec son frère c’était mitigé entre amour et haine, et puis bon on les connaît les petits gars de son age, on ne montre pas son amour pour sa petite sœur, bien que par certains gestes il l’a manifestait son affection pour sa sœur. Lui il était en guéguerre contre ses parents, voulant défier leurs autorités. Marilyn n’aimait pas cette situation, elle se sentait légèrement… En retrait.
Et puis il y avait les De Sereys ! Avec surtout Gabin, son chouchou en quelques sortes, toujours collés, comme des frères, des jumeaux, des confidents, des complices. Toujours à traîner ensemble, il se raconte tout, Marilyn se souvient la première fois qu’elle a vu Gabin dans les bras d’une autre fille. Dans les bras de son amoureuse ! Elle n’était pas amoureuse de lui, mais c’était son Gabin, son chouchou et le partager, jamais ! Il y avait la mère de Gabin, sa tatie préféré ! Et Gaël, si on lui avait demandé de faire des commentaires sur Gaël, elle n’aurait rien dit, elle ne le connaît pas plus que ça. Elle se méfie de lui, et de son secret qu’elle pense avoir découvert…
Aucun lien avec la famille de son père.