Cassidy Arleen Leane | Construction |

I D E N T I T E

Nom, Prénom: Je m’appelle Cassidy Arleen, Leane de mon nom de famille. Rien de bien original, vous voyez.
Age, Date de Naissance: 15, 18 Mars
Sexe: Masculin

Année à Poudlard: C’est sa cinquième année.
Origine [Aisé, Pauvre, Moyen] // Ascendance [Pur, Mêlé, Moldu] // Nationalité: Je me demande bien ce que je fais dans une école de sorciers, puisque je suis ce que l’on appelle un « Moldu ». Mon origine ? Disons que je n’ai jamais vécu dans le besoin, mais ce n’était pas la vie de palace non plus. Quant à ma nationalité, je suis australien, oui, c’est pour ça que j’ai un accent…

C A R A C T E R E

« Je me définis comme quelqu’un de continuellement triste, docteur. Qu’il fasse beau, que l’Australie gagne la Coupe du Monde de football, je suis triste. Tout m’indiffère, parce que je ne suis pas comme tout le monde, vous comprenez. Pour un garçon, je ne suis pas « normal ». Mon père aurait voulu que je sois quaterback, j’ai fait du violoncelle et du piano, et j’apprécie la vue d’une paire de ballerines. Je ne suis pas fier comme un coq à chaque fois que j’ai mis à terre un plus petit que moi, je ne me sens pas obligé de faire l’idiot devant les filles à la piscine. Et les filles ne m’acceptent pas car je suis un garçon, elles trouvent ça bizarre qu’un garçon ne cherche pas à leur plaire. Alors, je suis seul au milieu de ces jeunes pleins de vies. Qu’ils s’enfoncent dans leur médiocrité, je m’en fiche.

On me dit égoïste, mais ça n’est pas vrai ! C’est juste l’impression que je donne. Les préjugés me paralysent, j’ai toujours peur de me faire jeter. Si quelqu’un me propose son aide, je fuis, j’ai peur de me rendre ridicule. Je n’aime pas évoluer en société, je me sens gauche et maladroit. J’ai une image pessimiste de moi-même, mais on ne m’a jamais permis d’avoir une autre vision que celle-ci. Et cela ne se guérit pas avec des médicaments, n’est-ce pas, docteur ? Je suis secret, je l’avoue. Je n’aime pas que l’on se mêle de mes affaires, à vrai dire, je trouve cela d’une impolitesse inouïe. On m’a catalogué « petit animal farouche ». Je suppose que ça n’est pas un compliment, je me trompe ?

Je ne suis pas particulièrement intelligent. A l’école, j’étais l’élève transparent dont on se souvient seulement quand on remplit le bulletin. On me dit sage et calme, c’est vrai. Je déteste me presser pour rien, aller vite n’est pas dans ma nature. Pourtant, il arrive que certaines fois, je sorte de mes gonds. Tenez, un jour, une brute de mon collège a frappé un garçon, plus jeune que lui. Je ne savais pas qui était ce garçon, ni ce qu’il faisait de sa vie, mais ce spectacle écœurant m’a fait exploser. La brute s’est retrouvée avec un nez cassé et deux côtes fêlées. Je pense qu’au fond de moi, il y a quelqu’un de courageux. Je ne me vante pas souvent, mais je me targue d’être hardi.

Par contre, je ne suis pas curieux. Comme je vous l’ai déjà dit, bien peu de choses m’intéressent. D’où vient cette nonchalance, je ne pourrais pas vous le dire. Sûrement pas de mes parents, ils sont aussi actifs l’un que l’autre. Mais on ne parle pas de ma famille, on parle de moi.

Je n’ai aucune raison d’être ce que je suis. Je ne suis pas pauvre, j’ai vécu dans un pays merveilleux, et récemment, j’ai appris que je possédais de pouvoirs magiques. La vie n’est-elle pas belle ? Et bien non, pour moi, elle n’est pas belle. Je la trouve terne, sans attrait, morne. Chaque jour me rapproche un peu plus de ma fin. Ah, c’est déjà l’heure ? Et bien, au revoir, Docteur. A dans deux semaines ! »

L’adolescent sortit de Sainte-Mangouste. L’air frais lui picota les joues, et il resserra le col de son manteau de feutre noir. Il s’enfonça dans les ruelles du Londres magique. Plein d’échoppes. Il s’arrêta devant l’une d’entre elles : « Madame Lisha vous révèle votre véritable nature. »L’adolescent n’est pas curieux de nature, mais là, il se sent…attiré. Il a beau se dire que ce n’est peut-être pas vrai, il entre quand même. Là, Lisha le reçoit, lit dans les lignes de sa main, et commence à parler :

« Tu t’entoures de solitude parce que tu te crains toi-même. Pourtant, tu as des choses à donner. Malgré ta réelle froideur, tu peux être sociable et donner comme recevoir te fait plaisir. Tu as du mal à extérioriser tes sentiments, mais cela prouve que tu en as, et c’est une grande chose. Ta détermination obstinée n’a d’égale que ton courage. Si quelque chose te touche, ou touche l’un de tes amis, tu n’hésites pas à te servir de tes poings ou de ta baguette pour venger l’honneur sali, et l’on peut dire que tu n’as qu’une parole. Tes promesses sont toujours tenues.

Plus malin et plus dissipé que tu ne veux le laisser voir, tu caches ton jeu sous un masque de fausse fragilité. Tu possèdes une force morale dont tu ne soupçonnes pas l’existence ! Mon conseil, jeune homme : cesse de t’apitoyer sur toi-même, et ouvre-toi au monde. Le vrai Cassidy ne demande qu’à sortir, mais tu l’enfouis en toi parce que tu as peur de perdre ton originalité, n’est-ce pas ? Médite bien ces paroles, jeune homme… »

Le jeune homme était troublé. Quand il sortit, le ciel de Londres était chargé de nuages. Il rabaissa bien vite la tête, et continua sa route, le visage impassible, les yeux rivés sur les pavés.


Aime, Passions, Hobbies: Ce que j’aime. En voilà une bonne question. J’aime rêvasser en sirotant un bon lait de coco, ou bien lire au fond de mon lit. J’aime les lettres et leurs formes, elles me rassurent. Je suis un vrai mélomane, la musique m’envoûte. J’aime toutes les musiques, sauf celle qu’on fabrique en tapant sur des poubelles ou en faisant danser de jolies filles en bikini. J’aime la magie et il arrive parfois que j’en fasse un usage quelque peu excessif. Je me sens plus à l’aise au milieu d’une forêt que dans une salle emplie de monde. J’aime être seul pour méditer, j’aime me passer les nerfs en criant un bon coup. Je n’ai pas de hobbies, mais j’ai une passion que je cache à tout le monde. Je chante. J’aime les notes, j’aime les moduler dans ma bouche, j’aime coucher mes émotions sur le papier, et les chanter ensuite.

N'aime pas, Phobies: Il y a beaucoup de choses que je n’aime pas . Le bruit, par exemple. La cacophonie m’insupporte au plus au point. Les gloussements débiles des filles, les sourires machos des garçons, je déteste aussi. Je n’aime pas tomber sur un couple qui s’embrasse. Je n’ai rien contre l’amour, mais s’exposer ainsi me rend malade. La chaleur me rend complètement dingue, s’il y a bien une chose que je déteste, c’est le soleil de plomb. Et je n’ai pas été gâté… En Australie, il fait très chaud. L’injustice me fait péter les plombs. C’est l’une des rares choses que je gais véritablement. Je n’hésiterais pas à user de la magie si je vois qu’un mec profite de sa force pour obtenir quelque chose. Quant aux trouillards qui ne savent pas se défendre, je leur réserve le même sort…
Je n’aime pas manger. C’est égoïste comme raisonnement, mais la simple idée de ce que devient la nourriture après être ingurgitée suffit à me dégoûter.



Physique.

Physique: 5 lignes minimum.
Style vestimentaire: 5 lignes minimum.



Biographie.

Enfance, école et apparition du pouvoir: 5 lignes minimum.
Entré à Poudlard, niveau scolaire et autres: 5 lignes minimum.
Famille: 3 lignes minimum.



Autres.

2 OptionS choisiES en 3ème année: SaCM, Divination, Etude des Moldus, Vieille Magie.
[Pour les 7èmes année, voir 6ème si 17ans] Avez vous le permis de Transplaner?
Affiliation: Bien, Mal, Neutre?
Baguette, Description + obtention: