Jasper W. Cullen

Identité Général.

Nom, Prénom: Cullen, Jasper William

Age, Date de Naissance: Jasper a 16 ans et il est né le 17 Août 1991 à Oxford.

Sexe: Masculin, vous en doutiez ?

Année à Poudlard: C’est la sixième année que Jasper passa à Poudlard.

Origine [Aisé, Pauvre, Moyen] // Ascendance [Pur, Mêlé, Moldu] // Nationalité: Jasper est issu d’une famille aisée, pour ne pas dire riche, car le jeune homme n’a jamais manqué de rien. Faut dire, il est fils unique…Le sang de Jasper est mêlé : son père est un sorcier de sang pur et sa mère une moldue. Jasper possède la nationalité anglaise, mais il possède des origines françaises, italiennes, irlandaises…

II. Caractère.

Caractère:

« Il est drôle, énergique, vif, amical, disponible, fort, chaleureux et inventif. Un vrai chouchou des filles quoi. Le camarade de classe idéal. Le frère. »[

Quand on lit cette description, difficile de ne pas tomber sous le charme du jeune Anglais. Jasper est tout simplement irrésistible, un vrai loukoum ! On le voit, on le veut (c’est pas dans une pub, ça ?).

Tout d’abord, Jasper est quelqu’un de très sociable, pas comme son cousin Nathaniel qui a sans doute des ancêtres huîtres. Ce besoin d’être entouré vient de l’enfance de Jasper, qui fut très solitaire, et quand il pénétra à Hogwarts, libéré du joug de son père, Jasper W. chercha tout de suite à se faire des amis. Bien sûr, il y parvint sans difficultés, car il se découvrit un paquet de qualités non négligeables. Jasper est donc devenu quelqu’un de populaire dans sa maison, mais aussi dans Poudlard, connu comme le garçon le plus gentil que la Terre ait jamais porté. Car si l’on peut prendre Jasper pour un beau gosse cassant et ayant pris la grosse tête, il n’en est rien. C’est un garçon franchement adorable, qui a beaucoup à donner. Il ne s’arrête pas à l’apparence pour juger les gens ( ce qui est une attitude stupide V_V ) et on le qualifie de très amical. Il n’est pas comme de nombreux élèves de l’école qui se livrent une petite guéguerre entre maisons : Jasper a des amis partout, et il ne voit pas pourquoi il s’en priverait à cause d’une stupide rivalité. Jasper est donc très chaleureux comme garçon, et le monde entier est son ami, ou presque.

Jasper a beaucoup d’humour. Le Serdaigle est quelqu’un de joyeux, pour lui, il faut profiter de la vie et ne pas la passer à se détourner des autres ! C’est d’ailleurs cette philosophie qui fait son succès… Jasper a également beaucoup de culot, et c’est une tête brûlée : il fait parfois de grosses conneries, qu’il a toujours réussies à rattraper grâce à son côté réfléchi. De plus, Jasper ne mâche pas ses mots, et s’exprime assez mal dans certains cas … Des jurons qui mériteraient parfois une claque ! Mais Jasper n’est pas du genre à ponctuer chaque phrase d’un « Enfoiréééééé » ou autre drôleries de ce genre. Ce genre de piques, il les réserve à Gaël, son ennemi d’amour ( j’dis nimp’ XD). Il arrive que Jasper taquine gentiment une personne, mais ça ne va jamais très loin !

Jasper n’a pas été envoyé à Serdaigle pour rien : c’est un garçon très intelligent. Quand il étudie, c’est à fond ! Non seulement c’est un chouchou des fille, mais c’est le chouchou des professeurs car c’est un élève « modèle » (Hum…XD). Calme et réfléchi, il peut passer des heures sur un problème tant qu’il ne l’aura pas résolu. Jasper est très déterminé. Quand il veut une chose, il n’en démord pas. Le jeune Anglais est rarement futile, sauf quand il s’agit de fringues… Hum, bref, ça viendra plus tard. Jasper n’est pas mollasson pour autant : très vif, mais aussi énergique, c’est une vraie pile électrique, surtout le matin, après une nuit de sommeil ! Jasper prend à cœur ce qu’il fait : c’est ce qui fait son succès. Il fait toujours le maximum, que ce soit envers ses amis ou pour les études. On pourra jamais qualifier Jasper de partisan du moindre effort, loin de là. Bref, c’est un garçon très vif.

N’essayez pas de le rouler, Jasper sait reconnaître une entourloupe. Jasper n’est pas méfiant, mais il déteste qu’on essaye d’abuser de lui, et il se met
rapidement en colère quand il découvre qu’on l’a trompé. Craignez ses colères car elles sont terribles… Mais bien heureusement pour vous, elles sont très rapides, et Jaspy est toujours le premier à s’excuser.

Jaspy a toujours eu beaucoup d’imagination. Il a toujours aimé fabriquer de ces mains des objets qui allaient soi-disant révolutionner le monde… Il gardé ce goût pour l’invention, et se laisse parfois à rêvasser aux milliers d’objets qu’il pourrait inventer s’il avait le temps… Bien sûr, ce goût de l’invention lui sert aussi quand il doit inventer un gros mensonge pour expliquer sa présence à la Salle sur Demande vers trois heures du matin. Hum. Bref, vous avez compris que Jaspy n’est pas le petit ange que l’on croit.

Mais le plus gros défaut que Jaspy ait, c’est sa manie de mettre de la distance entre lui et les gens qui lui sont très proches. Il a mis de la distance entre lui et sa mère, parce qu’elle était malade, il a mis de la distance entre lui et son père, et la distance entre lui et sa famille lui fait beaucoup de peine.Il a beau essayé de se corriger, rien n’y fait. Jaspy est incapable d’être vraiment proche de sa famille. Il essaye de se protéger en mettant de la distance,mais se protéger de quoi, voilà la question… Bref, le jeune homme a quelques problèmes affectifs, mais qui ne sauraient tardés à être réglés (n’est-ce pas ? XD).

Il est certes possible de ne pas apprécier Jaspy à cause de sa notoriété, mais comment ne pas aimer cette gueule d’ange au sourire charmant et à la gentillesse véritable ?

Aime, Passions, Hobbies: Jasper aime à peu près tout. Il adore ses cousins : Nat, Rosy, et Aly, et tout particulièrement, Nat, qui est l'un de ses amis les plus proches. Jasper aime enseigner aux plus jeunes ce qu'il sait, et il passe beaucoup de temps à la Bibliothèque pour lire. C'est l'une des ses passions, tout comme écrire et dessiner. Jasper est très sportif et a longtemps pratiqué la natation : il était d'ailleurs très doué et a gagné plusieurs compétitions. Désormais, il la pratique moins, seulement dans sa baignoire. Il aime la caresse du vent sur son visage quand il est à moitié endormi dans le jardin de sa maison à Oxford. Il aime les vieilles villes, mais aussi lambiner en regardant la télé. Il a des goûts assez hétéroclites, en vérité.

N'aime pas, Phobies: Jasper déteste qu'on soit jaloux de lui. Il ne peut pas le supporter, car il pense être lui-même et ne voit pas pourquoi on serait jaloux de lui. Il n'aime pas qu'on le pousse à bout, et déteste faire usage de ses poings. Il a peu d'ennemis, mais Gaël de Seryes ne peut pas le sacquer, et c'est réciproque ! Jasper a la phobie du feu, depuis qu'il a été brûlé à l'âge de 8 ans... Il n'aime pas non plus les hôpitaux, et le corps médical. A vrai dire, il en a une peur bleue...

III. Physique.

Physique: Jasper possède le charme typique des Anglais. Délicieusement british. Il pourrait très bien être mannequin s’il le désirait, mais ça n’est pas dans l’ordre de ses priorités…

D’une forme ovale, le visage de Jaspy inspire la confiance et la chaleur. Pour un Anglais, Jasper est étonnamment hâlé. Bon, ce n’est pas comme s’il passait sa vie sous les tropiques, mais il est plus bronzé que la plupart des Anglais. Cela vient de sa mère, Laura, qui était moitié anglaise, moitié grecque. Au milieu de ce teint de pêche, deux yeux, ou plutôt deux pierres précieuses d’un bleu envoûtant. Jasper n’en a pas conscience, mais son regard est son principal atout de séduction. Toutes les nuances de bleu y passent, selon la lumière : un bleu glacé quand la lumière est très forte, plus foncé quand la lumière est tamisée, un bleu ( voire violet) foncé quand la lumière est quasi inexistante…Bref, Jasper a de très beaux yeux, qu’il a hérité de son père, cette fois-ci. Car Jasper est un harmonieux mélange entre ses parents.

Un nez fin surmonte une bouche à s’en damner. Aux contours bien dessinés, ces lèvres rouge cerise représentent la tentation à elles-seules. Il n’y a qu’à voir les lèvres de Jaspy pour comprendre qu’il est ma-gni-fi-que. Et les deux ou trois petites amies que Jasper a eu vous le diront : Jaspy embrasse vraiment très bien. Qu’est-ce qu’il vous faut de plus pour tomber sous son charme ? è_é

Son allure ? Et bien, qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ? Il est classe ! Jasper se tient toujours droit, et il marche avec aisance. Il possède une silhouette svelte et élancée. Il est grand (environ un mètre quatre-vingt cinq, si ce n’est plus ) et plutôt mince pour cette taille. Comme dit dans son caractère, Jasper a de l’énergie à dépenser, et son corps, taillé par les longues heures de natation, est très agréable à regarder. Un torse glabre, musclé juste comme il le faut, de longues jambes qui n’en finissent pas, glabres également. En vérité, Jasper possède une pilosité très faible (heureusement pour lui --‘). Des bras qui vous donnent envie d’être enlacés par Jaspy. Des épaules aux doux contours, adoucissant ainsi la silhouette un peu baraqué du jeune Serdaigle.

Et surtout, cette sensualité omniprésente, dans le moindre des gestes de Jaspy. Ce n’est pas voulu, bien sûr. Jaspy ne s’en doute même pas. Mais lorsqu’il prend son verre dans sa main, lorsqu’il sourit à un ami, une douce chaleur s’empare de vous. Vous le regardez, et vous ne pouvez pas en détacher le regard. Il rit, une fossette au coin de la lèvre et voilà que vous le fixez, ébahi…Parfois, quand Jasper se laisse aller, son visage angélique prend une expression rêveuse, son regard s’éclaire, sa divine bouche s’entrouvre. On a alors envie de le serrer dans ses bras tant il est…attendrissant. Oui, Jasper a beau être grand, mince, baraqué, il n’en est pas moins attendrissant. Autant vous dire qu’il possède énormément de charme et, il a donc beaucoup de succès auprès des filles…

[color=Teal]Style vestimentaire: Un look très rock. Jasper sait être sobre, mais un peu survolté en même temps. Fidèle aux tons sombres et unis, ce qui met en valeur ses yeux et son teint, Jasper porte des habits plutôt moulants : jeans cigarettes (sans être slims ), tee-shirt près du corps ou bien chemise, ceintures, baskets en toile comme des Converses ou des Caporal. Jaspy sait être élégant sans paraître dédaigneux et méprisant. Jasper ne fait pas vraiment attention à comment il s’habille, il veut surtout être présentable et ne veut pas paraître comme quelqu’un qui se fiche totalement de son apparence. Au contraire de son cousin, Jasper ne se maquille pas. Faire attention à son apparence, oui, virer fashion victim, non. Jasper est pourtant très futile côté fringues. Il achète souvent sur un coup de têtes. Enfin, bref. Ah oui ! Jasper a un piercing sur la langue ( chose totalement interdite par son paternel, normalement ). Il paraît que ça fait un effet fou quand il embrasse…

IV. Biographie.

Enfance, école et apparition du pouvoir:

« Je ne crois pas avoir eu d’enfance à proprement dite. Mon nom est Jasper William Cullen, je suis né le 17 Août 1991 à Oxford, cette belle ville à l’Université si réputée. Depuis tout petit, je sais que la magie existe et qu’elle est dans notre monde depuis des siècles. Mes deux parents sont des sorciers : Allen Cullen, mon père, est a un compte à Gringotts bien rempli, mais il travaille tout de même, comme chercheur magique. Je crois qu’il cherche d’autres essences magiques pour les baguettes ou quelques choses comme ça. Ma mère, Laura Cullen, je ne l’ai pas vu depuis longtemps. Elle est moldue, mais elle est allée à l’école de magie. Je ne l’ai pas vu depuis longtemps car elle est internée dans un institut spécial. Je ne sais pas ce qu’elle a, et je ne veux pas savoir. J’ai trop peur de comprendre…

Mon histoire commence donc le 17 Août 1991 à Oxford, en Angleterre. Je nais en fin d’après-midi, à l’hôpital moldu d’Oxford, et il pleuvait. Je suis né 8 mois et 5 jours après mon cousin Nathaniel et ma cousine Alice, avec
qui je n’aurais que peu de contacts durant mon enfance.

Nos pères respectifs ne s’entendaient pas très bien. De plus, mon oncle Carlisle partit en Amérique et il n’allait pas faire le déplacement pour voir
son neveu, je suppose. Il avait déjà d’autres problèmes en tête. Mais on parle de moi dans cette histoire, c’est pourquoi je vais continuer mon récit.

Tout se passait bien. Les premiers mois de ma vie ont sans doute été merveilleux, voire parfaits. Je ne pourrais vous en dire plus, car je n’en sais rien. J’étais un bébé sage et calme, oui, vraiment, tout allait bien. J’étais encore si petit à l’époque, je ne voyais pas que le couple que formaient mes parents se déchirait. La maladie de ma mère, dont j’ignore encore tout, y était sans doute pour quelque chose. Mon père travaillait beaucoup, comme pour s’éloigner de la superbe maison que nous habitions à Oxford, tous les trois. Je grandissais simplement, oui, j’avais une vie si merveilleuse … Et puis un jour, ma vie merveilleuse s’est écroulée. Je jouais dans ma chambre, avec le cheval à bascule que ma grand-mère m’avait offert pour mes quatre ans, quand j’entendis des éclats de voix, des pleurs. J’ai tendu l’oreille et voici que j’ai entendu :

« Ca ne peut plus continuer, Laura ! »

« Je t’en supplie, Allen. Laisse-moi encore une chance…Et ton..Ton frère ? Il ne pourrait pas faire quelque chose ? »

« Carlisle est MEDICOMAGE ! Il soigne les blessures et les maladies causées par la magie ! Toi, tu as une maladie moldue ! »

« Allen…Allen…Je t’en prie… »

« Non, Laura. Je suis désolé. Je ne veux pas qu’il arrive quelque chose à
Jasper. Imagine qu’elle lui fasse du mal ? Tu voudrais vraiment que
Jasper soit blessé par ta faute ? »

Je ne comprenais rien. J’avais cinq ans et demi, et ma vie de famille venait de mourir. Tout ce que je savais, c’est que ma mère était malade, et qu’elle pouvait me faire du mal. Ma mère ? Me faire du mal ? Je n’en revenais pas. Mais j’avais confiance en mon père : je l’avais toujours considéré comme un héros, et s’il disait que ma mère pouvait me faire du mal, il fallait qu’il me protège. Comme j’avais tort… Je ne pensais pas que je faisais erreur sur toute la ligne à cet instant, mais ça n’était pas ma faute. Bref, ma mère quitta la maison un samedi de Novembre, très froid. Je me souviendrais toujours de ses pleurs contre mes joues, et moi, qui restait impassible. Comme j’ai dû lui faire du mal, à ce moment. A présent, je m’en veux. Mais on ne peut pas retourner dans le passé, pas plus que l’on peut effacer les blessures et les maladies par des sortilèges… Pendant une époque, j’habitais chez ma grand-mère. Ma mère étant partie, mon père devait penser que j’avais besoin d’une présence féminine pour m’éduquer. Mais j’étais traumatisé par ce que j’avais entendu. Ma mère aurait pu me faire du mal. Qui me disait que ma grand-mère ne ferait pas de même ? Quand je fis part de mes peurs à la vieille femme qu’elle était, elle rit tristement, et m’expliqua qu’elle n’était comme ma maman. Je n’avais pas à la craindre, pas plus que Tante Esmée, Alice et Rosalie, qui venaient parfois nous rendre visite en Angleterre. Leurs visites étaient un véritable évènement, car la famille Carlisle Cullen se déplaçait très rarement en Angleterre. De plus, mon oncle et mon père se disputaient à chaque fois. Quand à nous, les enfants, nous allions nous cacher, et nous parlions des heures, avant de se quitter…

J’eus une enfance pourtant solitaire. Je n’avais pratiquement pas d’amis. Je constatais que mon père n’était pas le héros auquel je pensais : il était froid, colérique, distant. Je n’allais pas à l’école, il avait engagé un précepteur pour m’apprendre tout ce qu’il fallait. Ces cours m’ennuyaient atrocement, et le précepteur encore plus. Je préférais de loin me réfugier dans la bibliothèque de notre maison. Normalement, je n’avais pas le droit d’y aller, mais la sournoise Rosalie m’avait appris comment crocheter une serrure. Je lisais avec délices des ouvrages de magie,blanche surtout. La magie noire me répugnait. Je n’avais pas bien sûr pas idée des conséquences de mes choix à cette époque, mais mon père, lui, penchait plutôt pour la magie noire… Je crois que c’est pour ça qu’il se disputait souvent avec mon oncle. Bref, passons. J’appris de nombreux tours qu’il me tardait d’effectuer, et un jour, je fis une grosse bêtise…

C’était la nuit, et je savais parfaitement où mon père rangeait sa baguette quand il dormait. En deux coups d’épingle, je parvenais à ouvrir son placard et je subtilisai sa baguette magique. J’étais follement impatient d’essayer le sort que je voulais utiliser. Je sortis dans le grand jardin de notre maison, et je chuchotai le Sort de Feu, qui permettait de faire jaillir des étincelles du bout de la baguette. Malheureusement, j’avais mal choisi ma nuit : il ventait et des étincelles embrasèrent des brins d’herbe. Sous mes yeux horrifiés, le jardin prit feu. Les flammes m’entouraient, j’étais complètement paralysé. Et soudain, je sentis mon pied me brûler. J’étais en train de m’enflammer…

Quand je me suis réveillé, je souffrais. C’était tout ce que je savais. Le visage, le torse, les jambes, le dos, c’était intolérable. Je ne sais pas combien de temps j’ai pleuré, allongé dans le lit blanc de l’hôpital Sainte-Mangouste. Mon père, alerté par l’odeur de fumée, m’avait trouvé allongé dans le jardin, brûlé sur tout le corps, presque mort. Il avait réussi à éteindre le feu en lançant un sort, puis avait transplaner jusqu’à Sainte-Mangouste. J’eus beaucoup de chance de ne pas avoir de cicatrices, sinon, je serais totalement défiguré. Heureusement, la magie fait des miracles…

Je reçus la plus formidable correction de toute ma vie. Mon père était furieux contre moi : j’avais failli mourir, je lui avais désobéi et j’avais cramé le jardin. En un sens, je le comprenais. Mais j’étais si curieux…Je voulais tant apprendre la magie, comme lui ! Je n’arrêtais pas de le questionner sur telle ou telle potion, sort, ou autre. Il renonça à m’interdire la bibliothèque et fit cesser les cours à domicile. J’étais heureux, ou presque. J’avais désormais huit ans, quand je voulus voir ma mère pour la prmeière fois depuis qu’elle était partie. Quand j’émis cette timide requête ; mon père, à ma grande surpris,et accepta. Et c’est ainsi que j’arrivais à l’Institut St Blanche. C’est un gros cube de béton gris-blanc, placé devant une plage morne. Quand j’entrai, l’odeur me prit à la gorge et je suffoquais presque. Pourquoi ma mère était dans un tel endroit ? Je m’inquiétais pour elle, même si j’en avais peur. Mon père avait réussi à me terrifier de ma propre mère… Enfin, nous sommes arrivés, et je suis entré dans sa chambre.

J’eus du mal à la reconnaître. Certes, j’avais peu de souvenirs d’elle, mais qui était cette créature décharnée, à l’air perdu, les yeux dans le vague ? Laura Emily Cullen, ma mère. Je me suis timidement approché.

« Maman »

La créature tourna ses yeux gris vers moi et me sourit faiblement.

« Jasper. On m’avait prévenu. Tu as changé … »

« J’ai huit ans, maman. » ai-je ajouté timidement.

« Ah… » La créature détourna son regard de moi et le tourna vers la mer.
Elle fut prise d’un rire fou, qui me fit reculer. Son corps était secoué de spasmes, et bientôt, un infirmier en blanc vint lui administrer un liquide transparent dans le bras, grâce à une seringue. J’étais terrifié et j’allais me réfugier dans les bras de mon père, qui m’attendait dehors. Quand il essaya de me parler, de m’expliquer, je me suis bouché les oreilles. Je ne voulais pas savoir ce qu’elle avait. J’avais franchement la trouille. Et j’ai décidé de ne plus jamais revoir ma mère.

Mon enfance resta solitaire. Je n’attendais qu’une chose : Poudlard. J’y étais inscrit dès ma naissance. Mon seul regret étaient que mes cousins ne y soient pas inscrits. Par cousins, j’entends Rosalie, Alice et Nat. Ce sont eux, mes préférés. Mais l’état de Nathaniel ne le permettait pas, et je me suis résigné à entrer à Poudlard seul…La visite au chemin de Traverse fut un pur moment de bonheur. J’achetais ma baguette chez Ollivander’s et elle était franchement superbe. J’étais en admiration devant toutes ces boutiques vendant des articles plus magiques les uns que les autres. Mon père voulait m’offrir le meilleur pour cette rentrée hors du commun. Et je ne disais pas non.

Je stressais un peu, tout de même. Mon père avait été à Serpentard, tout comme ma mère, et je redoutais sa réaction si j’étais envoyé dans une autre maison. Imaginons… Gryffondor, par exemple ! Je n’avais strictement rien contre cette maison, mais je savais que la colère de mon père serait terrible si par malheur j’y étais envoyé… Le premier Septembre de l’année de mes 11 ans arriva bien plus vite que je ne l’avais prévu, et pour la première fois, je quittais mon père. Entre nous, pas d’adieux déchirants, pas de longues embrassades. Il n’est pas très affectueux, mais c’est mieux comme ça… Ca permet de mettre une certaine distance entre nous…. »

Entré à Poudlard, niveau scolaire et autres:

« Mon entrée à Poudlard fut relativement calme. Un professeur vint nous chercher et on entra dans une immense salle, avec un ciel magique. On nous dit d’attendre et on a attendu. Nous fûmes répartis par le Choixpeau magique ( mon père m’avait expliqué) lorsque ce fut mon tour, je sentis le trac m’envahir. Et si j’étais envoyé dans une maison que mon père n’appréciait pas ? J’ai fermé les yeux, et j’ai entendu le Choixpeau me parler. Je n’ai pas très bien compris ce qu’il racontait, mais il m’a envoyé à Serdaigle. Soit.

J’ai vite compris que cette maison me convenait parfaitement. Les élèves étaient bosseurs, intelligents, mais vraiment sympas. Je me suis découvert très sociable et je me suis fait pas mal d’amis, dans toutes les maisons. Je n’avais pas de préjugés. Bien sûr, on voyait d’un mauvais œil que j’ai des amis à Serpentard, mais bon. Tant pis. Donc, ma première année à Poudlard fut un véritable rêve. J’avais tout ce que je voulais : des amis, de la magie… Bien. J’arrivais à avoir des notes correctes et mon père était satisfait de ma maison. Ma deuxième année, franchement… Pas grand-chose à dire… Ma troisième année, fut nettement plus intéressante : pour la première fois, j’avais une petite amie. Très mignonne, franchement. Je découvris que ma cote de popularité grandit, et je devins un « chouchou » des filles. Je faisais plus mature, et je pense qu’elles trouvaient en moi un grand frère idéal. J’étais flatté, vraiment. Je me sentais franchement mieux qu’avec mon père. J’avais l’impression de ne plus étouffer. La maison à Oxford avait beau être grande, immense, même, il y avait toujours son ombre qui me surveillait…

Durant ma quatrième année, je me suis fait un ennemi, Gaël de Seryes. Ce type ne m’aime pas et c’est réciproque… Je ne sais pas pourquoi, mais il m’est franchement antipathique comme mec. J’ai l’impression qu’il veut toujours être en concurrence avec moi, et je ne le supporte pas. Bref, j’ai peu d’ennemis, mais celui-ci est franchement coriace ! Toujours à me chercher. Enfin. Durant cette quatrième année, il ne s’est rien passé de très extraordinaire. Mon père était toujours aussi absent de ma vie (ce qui est mieux, je pense…), et ma mère, et bien, je refuse toujours de la voir. J’ai pas envie que tout le monde sache que ma mère est internée…. Et j’ai pas envie d’essayer de la comprendre. Franchement, si j’ai envie de me la jouer ado rebelle en conflit avec ses vieux, je le ferais. Non mais oh, faut pas pousser Mémé dans les orties, non plus..

Ma cinquième année fut assez intéressante. J’ai commencé à entretenir une correspondance épistolaire avec Nathaniel, mon cousin…. Cela me faisait du bien.

« Hi Nat !
J’ai maintenant quinze ans, et je te remercie pour ton cadeau. Un cadeau venu des States, trop la classe ! Remercie Aly et Rosy pour moi. Si je t’écris, c’est parce que je suis sûr que je peux me confier à toi en toute sûreté. Durant toute notre enfance, nous avons été proches, et malgré la distance, tu restes l’un de mes plus proches amis. J’ai le cœur lourd en ce moment. Je me suis toujours dit que de mettre de la distance entre moi et mon cher père serait bénéfique pour moi : ainsi, je ne me sentirais pas obligé de lui raconter ma vie pour me soulager d’un poids. Mais je me suis rendu compte que cette distance n’était pas bonne. Mon père ne fait plus attention à moi, il a pris cette distance pour un silence radio permanent. Ce n’est pas ce que je voulais !

Tant de choses me pèsent, Nat… Je m’inquiète pour toi, depuis ce qui t’es arrivé… Je m’en mordrais les doigts s’il arrivait quelque chose. Je hais cette distance entre nous deux, car elle m’empêche de veiller sur toi. J’ai l’impression que ces lettres nous rapprochent un peu, je l’espère… L’absence d’une mère me pèse aussi, mais il n’y a que moi que je puisse blâmer, après tout, c’est moi qui aie choisi de ne plus la voir. Mais je suis sûr que tu comprends mes choix. Ou si tu ne les comprends pas, tu les respectes. Oh, Nat… Tu le sais, j’écris comme je parle, mais je me sens si mal. Et personne à Poudlard ne peut me comprendre. On ne dirait pas comme ça, en apparence, mais quelque chose me ronge à l’intérieur. Mais c’est de ma faute, j’ai toujours mis de la distance entre moi et les gens que j’aime.

Je te laisse, je n’ai plus assez de papier et mes yeux se ferment seuls. Je t’adore.

Ton dévoué, Jaspy.

PS : Encore merci pour ce superbe tee-shirt <3 J’embrasse Aly, Rosy, Tante Esmée et Carlisle. Et Mr. Arty, bien sûr. »

Cette cinquième année fut bonne pour mes résultats, mais j’étais un peu déprimé. Mes amis à Poudlard le remarquèrent et ma fin d’année se déroula bien.

Les grandes vacances furent un rêve. Les Cullen 2 revenaient en Angleterre ! J’accueillis avec bonheur, Nat, Aly et Rosy. Je sais qu’ils étaient un peu déprimés d’être séparés de leurs amis, mais qu’est-ce que j’étais heureux de les avoir avec moi ! On ne m’avait pas vu sourire comme ça depuis bien longtemps…

Pourtant, quand ils sont entrés à Poudlard ( septième année pour Rosy, sixième année pour le duo terrible ), nous nous sommes un peu éloignés. ?J’étais étonné du comportement de Nat. Pourquoi était-il si distant, si froid ? Enfin, nous avons gardé de bonnes relations. Aly est à Serdaigle ! Si quelqu’un l’emmerde, il aura affaire à moi…Ouuuh, la grande Rosy est à Serpentard. M’étonne pas. Après tout, c’est elle qui m’a appris à crocheter les serrures ! »

Famille:

Allen Cullen : Mon père, ce grand génie. Il est chercheur pour une firme de vendeurs de baguettes internationale. Cela lui prend beaucoup de temps, et je ne le vois quasiment jamais. Il est assez distant, et désagréable. Nous n’avons jamais été en très bons termes, mais il faut dire que cela ne m’intéresse pas vraiment… Il est grand, mince, aux yeux bleus. Il est très calme mais en lui sommeille beaucoup de colère.

Laura Cullen : Ma mère. Elle a quitté la maison quand j’avais 5 ans et demi pour être internée à l’institut St-Blanche. Elle était très jolie avant d’être malade : teint mat, cheveux blonds, yeux verts… Maintenant, elle n’est plus qu’un squelette dément, dont j’ai peur et honte… Elle était banquière magique à la banque magique d’Oxford.

Aly et Rosy Cullen : Mes cousines, que j’aime énormément. Rosy est sournoise, belle et c’estelle qui m’a appris à crocheter les serrures ! Parfois, elle me fait un peu peur, mais elle est gentille. Elle est Serpentard, ce qui ne m’étonne pas plus que ça ! Aly a le même âge que moi, et est à Serdaigle. J’adore la taquiner pour l’embêter, mais gare à celui qui lui fait du mal, car je lui casse la figure… J’ai tendance à la surprotéger, et à la prendre pour une gamine, bien qu’elle soit plus âgée que moi. Mais bon… On ne se refait pas !

Nathaniel Cullen : Alors, lui… Je ne sais pas ce que je deviendrais sans Nat. On se complète si bien. Lui, qui est si souvent inquiet et stressé, je le détends par mon attitude cool et sereine. Il est comme mon frère. Quand il habitait aux Etats-Unis, je m’inquiétais sans cesse pour lui, tant j’avais peur qu’il fasse une bêtise dont il se mordrait les doigts. Mais depuis qu’il est à Poudlard, je suis rassuré. S’il jamais il arrivait quelque chose, une chose horrible, à cause de sa … différence, je ne sais pas ce que je ferais.

V. Autres.

2 OptionS choisiES en 3ème année: Divination,Vieille Magie.
Avez vous le permis de Transplaner? Non
Affiliation: Le Bien.
Baguette, Description + obtention: La baguette de Jasper est en Bois de Pommier, elle mesure 22, 5 centimètres et est plutôt souple. Elle contient un ventricule de dragon. Jasper l’a acquis chez Ollivander’s, sur le Chemin de Traverse, à Londres.

TERMINEE ! (enfin XD)

Magnifique présentation Jasper W. Cullen 884370

Bienvenue à Serdaigle Smile

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